L’exécution du calendrier des missions à l’étranger, des séminaires et ateliers en Côte d’Ivoire au cours du premier semestre de l’année 2019 a été au centre d’un atelier vendredi à Abidjan.
Il s’est agi au cours des travaux de présenter les dotations globales des ministères, de faire le bilan de la consommation à mi-parcours des ministères et relever quelques difficultés dans la gestion des communications en conseils des ministres (CCM), faire le rappel de quelques indications permettant le traitement des CCM.
Ouvrant les travaux, au nom du secrétaire d’Etat chargé du Budget et du portefeuille de l’Etat, le directeur de cabinet, Adama Sall, a précisé que la rencontre permettra de passer en revue la procédure informatique d’exécution des missions lancée le 13 mai 2019 et de renforcer les capacités des acteurs impliqués dans l’organisation des déplacements à l’étranger en les familiarisant davantage avec l’application informatique y dédiée.
Selon lui, la dématérialisation à travers la plateforme dénommée Système intégré de gestion des missions de l’administration publique (SIGMISSION), dans la gestion des conférences et missions est le début d’une réforme qui permettra de régler les difficultés rencontrées par les agents de l’Etat et les fonctionnaires lors des départs en mission à l’étranger.
Tout en soulignant que les dépenses liées à l’exécution des missions à l’étranger ont toujours été une préoccupation pour l’Etat, M. Sall a soutenu que le gouvernement a donné des instructions pour que des dispositions soient prises afin d’avoir un cadre réglementaire adéquat profitable à l’administration publique, et permettant d’exécuter les conférences et missions à l’étranger à moindre coût.
Dans cette logique, il est important, selon lui, que les acteurs qui interviennent particulièrement dans le processus de la gestion des missions à l’étranger se retrouvent périodiquement pour échanger et apporter des solutions aux difficultés rencontrées afin de donner suite aux attentes du gouvernement.
«Vos recommandations et suggestions contribueront à l’adoption de mesures consensuelles pour l’élaboration de calendriers et missions adaptées aux ressources de l’Etat », a insisté Adama Sall.
En 2019, ce sont 5 780 220 013 FCFA que l’Etat a prévus pour les missions à l’étranger, des séminaires et ateliers en Côte d’ivoire contre 3 778 681 431 FCFA. De janvier 2019 à fin juin 2019, ce sont 1 000 588 468 FCFA soit 26,78 % qui ont été exécutés sur les dotations des missions à l’étranger et 214 156 095 FCFA au titre des séminaires et ateliers en Côte d’Ivoire.
(AIP)
bsp/ask
Il s’est agi au cours des travaux de présenter les dotations globales des ministères, de faire le bilan de la consommation à mi-parcours des ministères et relever quelques difficultés dans la gestion des communications en conseils des ministres (CCM), faire le rappel de quelques indications permettant le traitement des CCM.
Ouvrant les travaux, au nom du secrétaire d’Etat chargé du Budget et du portefeuille de l’Etat, le directeur de cabinet, Adama Sall, a précisé que la rencontre permettra de passer en revue la procédure informatique d’exécution des missions lancée le 13 mai 2019 et de renforcer les capacités des acteurs impliqués dans l’organisation des déplacements à l’étranger en les familiarisant davantage avec l’application informatique y dédiée.
Selon lui, la dématérialisation à travers la plateforme dénommée Système intégré de gestion des missions de l’administration publique (SIGMISSION), dans la gestion des conférences et missions est le début d’une réforme qui permettra de régler les difficultés rencontrées par les agents de l’Etat et les fonctionnaires lors des départs en mission à l’étranger.
Tout en soulignant que les dépenses liées à l’exécution des missions à l’étranger ont toujours été une préoccupation pour l’Etat, M. Sall a soutenu que le gouvernement a donné des instructions pour que des dispositions soient prises afin d’avoir un cadre réglementaire adéquat profitable à l’administration publique, et permettant d’exécuter les conférences et missions à l’étranger à moindre coût.
Dans cette logique, il est important, selon lui, que les acteurs qui interviennent particulièrement dans le processus de la gestion des missions à l’étranger se retrouvent périodiquement pour échanger et apporter des solutions aux difficultés rencontrées afin de donner suite aux attentes du gouvernement.
«Vos recommandations et suggestions contribueront à l’adoption de mesures consensuelles pour l’élaboration de calendriers et missions adaptées aux ressources de l’Etat », a insisté Adama Sall.
En 2019, ce sont 5 780 220 013 FCFA que l’Etat a prévus pour les missions à l’étranger, des séminaires et ateliers en Côte d’ivoire contre 3 778 681 431 FCFA. De janvier 2019 à fin juin 2019, ce sont 1 000 588 468 FCFA soit 26,78 % qui ont été exécutés sur les dotations des missions à l’étranger et 214 156 095 FCFA au titre des séminaires et ateliers en Côte d’Ivoire.
(AIP)
bsp/ask