Abidjan- La ministre de l’Assainissement et de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto, se dit satisfaite des résultats concernant le décret d’interdiction des sachets plastiques en Côte d’Ivoire.
« Si vous vous me demandez si je suis satisfaite, je vous dis oui et non. Oui, satisfaite parce que nous avons pris un engagement, satisfaite parce que tous ceux qui fabriquent ces sachets savent que s’ils les fabriquent aujourd’hui, ils sont dans la clandestinité. On ne trouve plus des petits sachets non réutilisables aux caisses des grandes surfaces, il n’y a plus dans les zones industrielles, des entreprises qui fabriquent des sachets plastiques, ces entreprises ont entrepris des initiatives pour leurs reconversion en se tournant vers d’autres secteurs d’activité, c’est donc un acquis », a-t-elle indiqué.
Cependant, a-t-elle souligné, il reste encore un long chemin à parcourir pour être totalement satisfait des résultats du décret d’interdiction. « Nous devons maintenant, vous et nous, je dis vous et nous parce que vous êtes des journalistes, des objecteurs de conscience, c’est vous qui nous aidez bien souvent à mettre la main sur des récidivistes. Il faut nous aider parce aujourd’hui, l’approche a pris une autre dimension, elle est plus sournoise », a-t-elle ajouté.
Selon la ministre, ce n’est plus à la zone industrielle que l’on fabrique les petits sachets plastiques mais plutôt dans les cours communes, à l’arrière-cour de villas de la Rue ministre à Cocody. Elle a évoqué l’environnement insalubre dans lequel ces eaux ensachées sont produites alors que les fabricants font croire qu’il s’agit d’eau minérale ou de source. Une situation qui entraîne des maladies hydriques au sein de la population.
Anne Ouloto qui explique que ce décret s’inscrit dans un processus, souhaite donc que les journalistes deviennent ses partenaires privilégiés pour engager la lutte contre le non-respect de la mesure et la sensibilisation des consommateurs.
sdaf/cmas
« Si vous vous me demandez si je suis satisfaite, je vous dis oui et non. Oui, satisfaite parce que nous avons pris un engagement, satisfaite parce que tous ceux qui fabriquent ces sachets savent que s’ils les fabriquent aujourd’hui, ils sont dans la clandestinité. On ne trouve plus des petits sachets non réutilisables aux caisses des grandes surfaces, il n’y a plus dans les zones industrielles, des entreprises qui fabriquent des sachets plastiques, ces entreprises ont entrepris des initiatives pour leurs reconversion en se tournant vers d’autres secteurs d’activité, c’est donc un acquis », a-t-elle indiqué.
Cependant, a-t-elle souligné, il reste encore un long chemin à parcourir pour être totalement satisfait des résultats du décret d’interdiction. « Nous devons maintenant, vous et nous, je dis vous et nous parce que vous êtes des journalistes, des objecteurs de conscience, c’est vous qui nous aidez bien souvent à mettre la main sur des récidivistes. Il faut nous aider parce aujourd’hui, l’approche a pris une autre dimension, elle est plus sournoise », a-t-elle ajouté.
Selon la ministre, ce n’est plus à la zone industrielle que l’on fabrique les petits sachets plastiques mais plutôt dans les cours communes, à l’arrière-cour de villas de la Rue ministre à Cocody. Elle a évoqué l’environnement insalubre dans lequel ces eaux ensachées sont produites alors que les fabricants font croire qu’il s’agit d’eau minérale ou de source. Une situation qui entraîne des maladies hydriques au sein de la population.
Anne Ouloto qui explique que ce décret s’inscrit dans un processus, souhaite donc que les journalistes deviennent ses partenaires privilégiés pour engager la lutte contre le non-respect de la mesure et la sensibilisation des consommateurs.
sdaf/cmas