Bondoukou, Le secrétaire général de la préfecture de Bondoukou, Sylla Moustapha a procédé, lundi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo) au lancement de la formation de 400 enseignants instituteurs contractuels, en présence des autorités administratives et éducatives.
Cette formation qui s’inscrit dans le cadre du Programme social du Gouvernement et fait suite au discours de fin d’année du Président de la République, Alassane Ouattara qui a annoncé le recrutement de 10 300 enseignants du primaire, des lycées et collèges.
Le chef de la délégation du ministère en charge de l’Education nationale, Koffi Désiré, inspecteur général de l’Education nationale (IGEN) a indiqué que l’enjeu de ce recrutement est de mettre en œuvre une politique de l’Education inclusive et de qualité et d’apporter une réponse à un besoin crucial de déficit d’enseignants en Côte d’Ivoire.
Selon l’IGEN, l’objectif est de se diriger vers la réduction des effectifs d’élèves dans les salles afin d’avoir des conditions acceptables de travail. Il a indiqué que cette initiative est un défi collectif que l’institution éducative se doit de relever afin d’encourager l’Etat à continuer le processus.
Cette formation qui durera deux mois sur toute l’étendue du territoire national concerne 5 300 enseignants du primaire, 3 000 des collèges et 2 000 des lycées.
(AIP)
zaar/kam
Cette formation qui s’inscrit dans le cadre du Programme social du Gouvernement et fait suite au discours de fin d’année du Président de la République, Alassane Ouattara qui a annoncé le recrutement de 10 300 enseignants du primaire, des lycées et collèges.
Le chef de la délégation du ministère en charge de l’Education nationale, Koffi Désiré, inspecteur général de l’Education nationale (IGEN) a indiqué que l’enjeu de ce recrutement est de mettre en œuvre une politique de l’Education inclusive et de qualité et d’apporter une réponse à un besoin crucial de déficit d’enseignants en Côte d’Ivoire.
Selon l’IGEN, l’objectif est de se diriger vers la réduction des effectifs d’élèves dans les salles afin d’avoir des conditions acceptables de travail. Il a indiqué que cette initiative est un défi collectif que l’institution éducative se doit de relever afin d’encourager l’Etat à continuer le processus.
Cette formation qui durera deux mois sur toute l’étendue du territoire national concerne 5 300 enseignants du primaire, 3 000 des collèges et 2 000 des lycées.
(AIP)
zaar/kam