Invité de la troisième édition du CEO Talk, le rendez-vous business d’HEC Paris pour les dirigeants africains, Didier Drogba, l’international footballeur ivoirien, a partagé son expérience des débuts de ses vingt (20) ans de carrière sportive jusqu’à sa conversion en hommes d’affaires, leader et chef d’entreprise en passant ses velléités pour la présidence de la FIF (Fédération ivoirienne de football).
C’est la grande salle de la Maison de l’entreprise qui a abrité, dans la soirée de ce jeudi 12 septembre 2019, ce grand oral de la vedette mondiale de football. Didier Drogba
était en présence d’un parterre de personnalités, d’alumni HEC et des acteurs des médias. La question tant attendue, qui se baladait dans l’esprit de la plupart des journalistes présents était bien ce que dirait l’invité du jour de sa candidature à la présidence de la FIF.
Avec sérénité, Didier Drogba, qui, après avoir ôté définitivement les crampons, a emprunté le chemin des affaires et de l’humanitaire, répond d’abord à ceux qui disent qu’il n’est pas prêt, qu’il n’ as même pas été entraineur. La case entraineur, selon lui, ne l’intéresse pas, car il a estimé n’en avoir pas les compétences. « Je suis un leader, et ma vision est beaucoup plus grande telle l’impact que je veux avoir sur ma nation », a-t-il affirmé, en brandissant son expérience de footballeur professionnel qui n’est pas négligeable et qu’il lui faudra s’entourer de personnes compétentes qui ne manquent pas en Côte d’Ivoire.
Mais, au préalable, l’ancien capitaine des Eléphants n’est pas vite allé en besogne, car le dépôt des candidatures n’étant pas effectif, il a émis un tout petit peu de réserve à ce niveau. Toutefois, l’ex buteur de Chelsea a avoué son amour pour le développement du football dans son pays d’origine. « Je suis Ivoirien, et chez nous il y a beaucoup de difficultés, on peut apporter quelque chose pour redynamiser le football, intéresser le public. Je pouvais rester là-bas (Chelsea), mais je trouve que le challenge, c’est ici. La Côte d’Ivoire a eu un passé glorieux, dans le football. Il y a du talent et du potentiel qui sont sous exploités ».
Pour ce faire, Didier Drogba, comme un véritable leader se dit prêt à se mettre au service de la Côte d’ivoire et à écouter les avis des uns et des autres. « C’est ma petite contribution que je veux apporter à un pays qui m’a tant donné », confie t-il avec émotion, mettant ainsi fin aux suspenses et à toutes les polémiques sur le sujet.
Dans son mot de fin, le président de la Fondation Didier Drogba, et DG de Goals for Africa, n’a pas manqué de dire merci à HEC Paris pour cette opportunité à lui offerte de s’exprimer sur un pan de sa vie professionnelle. « Il y a le footballeur expressif et déterminé sur le terrain et l’homme naturel beaucoup plus calme. Dans la vie il faut chercher à savoir plus, parce que nous devons oser », a-t-il conclu.
JOB
C’est la grande salle de la Maison de l’entreprise qui a abrité, dans la soirée de ce jeudi 12 septembre 2019, ce grand oral de la vedette mondiale de football. Didier Drogba
était en présence d’un parterre de personnalités, d’alumni HEC et des acteurs des médias. La question tant attendue, qui se baladait dans l’esprit de la plupart des journalistes présents était bien ce que dirait l’invité du jour de sa candidature à la présidence de la FIF.
Avec sérénité, Didier Drogba, qui, après avoir ôté définitivement les crampons, a emprunté le chemin des affaires et de l’humanitaire, répond d’abord à ceux qui disent qu’il n’est pas prêt, qu’il n’ as même pas été entraineur. La case entraineur, selon lui, ne l’intéresse pas, car il a estimé n’en avoir pas les compétences. « Je suis un leader, et ma vision est beaucoup plus grande telle l’impact que je veux avoir sur ma nation », a-t-il affirmé, en brandissant son expérience de footballeur professionnel qui n’est pas négligeable et qu’il lui faudra s’entourer de personnes compétentes qui ne manquent pas en Côte d’Ivoire.
Mais, au préalable, l’ancien capitaine des Eléphants n’est pas vite allé en besogne, car le dépôt des candidatures n’étant pas effectif, il a émis un tout petit peu de réserve à ce niveau. Toutefois, l’ex buteur de Chelsea a avoué son amour pour le développement du football dans son pays d’origine. « Je suis Ivoirien, et chez nous il y a beaucoup de difficultés, on peut apporter quelque chose pour redynamiser le football, intéresser le public. Je pouvais rester là-bas (Chelsea), mais je trouve que le challenge, c’est ici. La Côte d’Ivoire a eu un passé glorieux, dans le football. Il y a du talent et du potentiel qui sont sous exploités ».
Pour ce faire, Didier Drogba, comme un véritable leader se dit prêt à se mettre au service de la Côte d’ivoire et à écouter les avis des uns et des autres. « C’est ma petite contribution que je veux apporter à un pays qui m’a tant donné », confie t-il avec émotion, mettant ainsi fin aux suspenses et à toutes les polémiques sur le sujet.
Dans son mot de fin, le président de la Fondation Didier Drogba, et DG de Goals for Africa, n’a pas manqué de dire merci à HEC Paris pour cette opportunité à lui offerte de s’exprimer sur un pan de sa vie professionnelle. « Il y a le footballeur expressif et déterminé sur le terrain et l’homme naturel beaucoup plus calme. Dans la vie il faut chercher à savoir plus, parce que nous devons oser », a-t-il conclu.
JOB