La société écologique tuniso-ivoirienne ECOTI.SA, intervenant dans le domaine de la salubrité, a sensibilisé, mercredi, les populations d’Abobo pour un changement durable des comportements en matière de gestion des déchets dans le cadre la seconde édition de son forum mensuel d’échange et de partage intitulé “Mercredi des déchets” .
“La propreté doit davantage constituer une préoccupation de premier ordre pour les ménages, les commerces, les syndics de quartier, les établissements publics et privés, les lieux de cultes”, a déclaré le directeur général d’ECOTI. SA, Jalel Nafti. Il a salué les efforts des autorités communales pour améliorer les conditions de vie des populations, “une lutte acharnée contre l’insalubrité et certaines incivilités et pratiques répréhensibles”.
Selon lui, “la gestion des déchets est une activité à caractère social, nécessitant un effort collectif et un engagement responsable des parties prenantes, une forte mobilisation des structures communautaires afin de pouvoir aboutir à une adhésion totale de la part des populations”.
Le conseiller technique à l’Agence nationale de gestion des déchets (Anaged), Nadro Félix s’est félicité de la “fière allure” que présente le district d’Abidjan depuis l’avènement de nouveaux opérateurs dans la filière déchets, notamment ECOTI.SA et Eco Eburnie.
“Les opérateurs ne ménagent aucun effort pour assainir les différentes communes d’Abidjan mais il faut être humble, beaucoup reste à faire car en dépit de l’effort de l’Etat pour doter le pays d’infrastructures modernes, les populations peinent à prendre soin de leur environnement”, a-t-il déploré, exhortant à une synergie d’action pour “améliorer davantage l’esthétique urbaines de nos villes”.
L’adjoint au maire d’Abobo, Ouattara Brahima a exhorté ses administrés à participer à cette dynamique constructive pour le changement de comportement, en vue de l’atteinte des objectifs en matière de propreté.
Le forum mensuel, “Mercredi des déchets” est une tribune pour analyser et traiter des problématiques de gestion locale des déchets ménagers, échanger les points de vue entre les représentants des structures de l’Etat en charge de la salubrité, les responsables locaux des mairies avec des associations, syndics de quartiers et structures communautaires.
(AIP)
gak/ask
“La propreté doit davantage constituer une préoccupation de premier ordre pour les ménages, les commerces, les syndics de quartier, les établissements publics et privés, les lieux de cultes”, a déclaré le directeur général d’ECOTI. SA, Jalel Nafti. Il a salué les efforts des autorités communales pour améliorer les conditions de vie des populations, “une lutte acharnée contre l’insalubrité et certaines incivilités et pratiques répréhensibles”.
Selon lui, “la gestion des déchets est une activité à caractère social, nécessitant un effort collectif et un engagement responsable des parties prenantes, une forte mobilisation des structures communautaires afin de pouvoir aboutir à une adhésion totale de la part des populations”.
Le conseiller technique à l’Agence nationale de gestion des déchets (Anaged), Nadro Félix s’est félicité de la “fière allure” que présente le district d’Abidjan depuis l’avènement de nouveaux opérateurs dans la filière déchets, notamment ECOTI.SA et Eco Eburnie.
“Les opérateurs ne ménagent aucun effort pour assainir les différentes communes d’Abidjan mais il faut être humble, beaucoup reste à faire car en dépit de l’effort de l’Etat pour doter le pays d’infrastructures modernes, les populations peinent à prendre soin de leur environnement”, a-t-il déploré, exhortant à une synergie d’action pour “améliorer davantage l’esthétique urbaines de nos villes”.
L’adjoint au maire d’Abobo, Ouattara Brahima a exhorté ses administrés à participer à cette dynamique constructive pour le changement de comportement, en vue de l’atteinte des objectifs en matière de propreté.
Le forum mensuel, “Mercredi des déchets” est une tribune pour analyser et traiter des problématiques de gestion locale des déchets ménagers, échanger les points de vue entre les représentants des structures de l’Etat en charge de la salubrité, les responsables locaux des mairies avec des associations, syndics de quartiers et structures communautaires.
(AIP)
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