Yamoussoukro - Les encadrants de la deuxième vague d’instituteurs et de directeurs d’école primaire, bénéficiaires du Projet d’appui à l’amélioration des apprentissages premiers et à la direction des établissements scolaires (Ifadem-Papdes) sont en formation, depuis lundi, à Yamoussoukro.
« Notre objectif est de former les encadrants au tutorat du dispositif parce que ce sont eux qui ont à charge l’encadrement des bénéficiaires que sont les enseignants des cours préparatoires première et deuxième année (CP1 –CP2) et des cours élémentaires première année (CE1)», a expliqué la secrétaire exécutive du projet, Ouattara née Koné Fatoumata.
« Les objectifs de l’atelier sont de doter les acteurs d’outils de formation adaptés aux besoins des bénéficiaires et de veiller à assurer à ces derniers un accompagnement qui favorise les échanges entre pairs et la réintégration des acquis dans les pratiques professionnelles. Au bout du parcours, le projet Ifadem permettra d’améliorer la pratique des enseignants en lecture-écriture et en calcul», a renchéri l’inspecteur général de l’éducation nationale, Allah Yao.
« Pour ce faire, des supports de formation constitués de livrets, d’outils de supervision et de tutorat ont été élaborés par le secrétariat exécutif et l’équipe-projet appuyés par les partenaires financiers que sont l’Agence française de développement (AFD) et l’Agence universitaire francophone (AUF)», a ajouté Mme Ouattara.
Les dernières évaluations nationales réalisées en 2014 ont révélé que plus de 80% des élèves ne savent pas lire à la fin des cours préparatoires. A ce titre, la méthode d’apprentissage de la lecture est passée de la méthode globale à la méthode syllabique depuis 2015/2016 et les réflexions sont en cours sur les autres apprentissages premiers, a-t-on appris.
« L’Ifadem-papdes est donc une solution qui permettra de former à échelle et en un temps réduit les enseignants sans vraiment perturber les enseignements.
« L’on peut retenir que le projet est une opportunité de renforcement des capacités pédagogiques des enseignants, de renforcement des capacités des directeurs d’écoles primaires et des chefs d’établissement en administration scolaire et en encadrement pédagogique afin d’améliorer les performances du système éducatif ivoirien », a conclu Mme Ouattara.
(AIP)
gso/fmo
« Notre objectif est de former les encadrants au tutorat du dispositif parce que ce sont eux qui ont à charge l’encadrement des bénéficiaires que sont les enseignants des cours préparatoires première et deuxième année (CP1 –CP2) et des cours élémentaires première année (CE1)», a expliqué la secrétaire exécutive du projet, Ouattara née Koné Fatoumata.
« Les objectifs de l’atelier sont de doter les acteurs d’outils de formation adaptés aux besoins des bénéficiaires et de veiller à assurer à ces derniers un accompagnement qui favorise les échanges entre pairs et la réintégration des acquis dans les pratiques professionnelles. Au bout du parcours, le projet Ifadem permettra d’améliorer la pratique des enseignants en lecture-écriture et en calcul», a renchéri l’inspecteur général de l’éducation nationale, Allah Yao.
« Pour ce faire, des supports de formation constitués de livrets, d’outils de supervision et de tutorat ont été élaborés par le secrétariat exécutif et l’équipe-projet appuyés par les partenaires financiers que sont l’Agence française de développement (AFD) et l’Agence universitaire francophone (AUF)», a ajouté Mme Ouattara.
Les dernières évaluations nationales réalisées en 2014 ont révélé que plus de 80% des élèves ne savent pas lire à la fin des cours préparatoires. A ce titre, la méthode d’apprentissage de la lecture est passée de la méthode globale à la méthode syllabique depuis 2015/2016 et les réflexions sont en cours sur les autres apprentissages premiers, a-t-on appris.
« L’Ifadem-papdes est donc une solution qui permettra de former à échelle et en un temps réduit les enseignants sans vraiment perturber les enseignements.
« L’on peut retenir que le projet est une opportunité de renforcement des capacités pédagogiques des enseignants, de renforcement des capacités des directeurs d’écoles primaires et des chefs d’établissement en administration scolaire et en encadrement pédagogique afin d’améliorer les performances du système éducatif ivoirien », a conclu Mme Ouattara.
(AIP)
gso/fmo