Après le passage très remarqué du jeune Député de Fresco, Monsieur Lobognon Alain, sur le chaud Fauteuil Blanc « éjectable » du Nouveau Réveil, le mardi 26 novembre 2019 entre 10 h 26 et 12 h 58 mn, c’est maintenant seulement que je reprends mes esprits après les avoir tous perdus sous le professionnalisme politique dont a fait preuve l’invité du jour qui se trouve être un militant de qualité, du mouvement des Générations et Peuples Solidaires (G.P.S.), tracté par le candidat Soro Guillaume Kigbafori ! Autant, un Homme déploie au quotidien une armada de gestes (« inconscients ») qui vise à convaincre sa compagne du moment de l’Amour fou et passionnel qu’il a pour celle-ci, autant cet homme qui appartient à une autre génération, mais surtout à une autre race d’Ivoiriens, va, sur sa lancée actuelle qui se caractérise par une absence de compromission, continuer à faire la Côte d’Ivoire dont nos illustres puristes ont tous rêvé avant de nous quitter chacun selon les termes exclusifs qui ont marqué leur passage terrestre. Cet homme dont l’allure trahit une certaine force qui s’assimile à la tranquillité, détient, dans des proportions inimaginables, une chose que tout le monde n’a pas. La responsabilité de sa responsabilité. Lorsqu’on l’écoute avec attention, il donne l’impression d’avoir une machine qui produit en lui, les quantités de passion qu’il faut pour caractériser chacun des enjeux auxquels le pays fait face contre son gré parfois. Convaincu d’être le messie de quelque chose, son heure, après avoir été annoncée par des clochettes, vient de mettre en scène, depuis ce 26 novembre 2019, un orchestre des cloches toutes issues de l’ancienne génération ! Lorsqu’on a fini de dire ça, je me sens rattrapé par les urgences que notre société étale souvent et de façon paradoxale à l’échelle gouvernementale ! Or donc la Côte d’Ivoire, mon pays qui a le don de générer par générations entières des artistes du ballon rond, pouvait, en 2015, engager son équipe nationale de football pour la campagne africaine réservée aux séniors, et afficher comme deux camps diamétrialement opposés, deux « objectifs » ? L’un officiel de remporter la coupe à l’issue de la finale et l’autre, officieux de revenir bredouille de cette échéance où les jeunesses du continent ont l’occasion de se mesurer aux seules armes du talent collectif ? En d’autres termes, de manœuvrer par intrigues interposées et à tous les niveaux du pouvoir, pour que l’éléphant revienne la queue et la trompe entre les pattes. Vous avez bien lu, c’est-à-dire que toutes les autorités confondues (politiques et footballistiques) de notre pays, à la veille de cette compétition reine qui se tient tous les deux ans, affichent un optimisme contagieux qui fait monter, à son tour, le mercure des passions au sein du peuple qui ne demande que ça pour entretenir au fil des phases qui coordonnent la compétition, leur soutien aux joueurs et leur désir de triompher au coup de sifflet final. Selon Monsieur Lobognon, la fissure gouvernementale de l’époque (2015) qui lui était défavorable, avait besoin d’un retour prématuré de nos éléphants pour mettre de l’eau au moulin de sa « destruction ».
En français facile, le gouvernement priait pour une élimination notamment à la phase basique de la compétition, afin de lui permettre de trouver des raisons valables pour son éviction du gouvernement pour insuffisance de résultats ! Pour contrer les porteurs de ces prières d’un autre genre, Lobognon s’était érigé pour seul dieu, un arsenal de transparence inédit dans l’écosystème du Football national. Comme Dieu ne constitue pas un épais matelas avec les dossiers de ses fils et filles qui se dévouent pour lui, la coupe de la CAN 2015 s’est retrouvée de façon « indésirée » sur les bords archi pollués de la lagune Ebrié. Au retour des joueurs triomphateurs, qui ne se souvient du large sourire que le père de cette éclatante victoire arborait ? Avec l’évocation in-extrémis de cette parenthèse qui est malheureusement intervenue dans la vie de notre Nation, j’ai été affalé et mis devant le fait incongru pour ne pas en dire davantage, qu’il était possible que dans le même gouvernement, peu importe le « mode » de sa composition, les premiers responsables de cette formation que j’imaginais comme une unité homogène et cousue de cohérence était malheureusement capable de secréter des « agendas secrets ».
Si quelqu’un nous disait qu’en fonction des circonstances et des intérêts en jeu, l’esprit d’équipe qui est pour nous la vertu cardinale d’un gouvernement pouvait être même de façon conjoncturelle mis sous le boisseau, je lui aurais dit, mais autant ne pas entériner la participation de notre pays à la phase finale de cette compétition dont rêve pourtant, tout footballeur peu importe le championnat dans lequel il évolue ! En effet, si parmi un nombre incalculable de joueurs, nous avons le distingué honneur d’être identifiés comme le onze national auxquels il revient de démarrer les matchs, la logique sportive et notre dévotion au respect et à la suprématie des couleurs nationales, voudraient que tous ensemble dans un élan patriotique, chacun à son poste « respectif », nous défendions pied-à-pied notre goal et que nos actions offensives soient coordonnées et dirigées immanquablement vers le camp adverse et, pas ailleurs d’autre !
Remarquons au passage que la plupart des sports collectifs ou individuels que nous pratiquons à l’échelle internationale, jusqu’ici, proposent deux camps. Si certains sports tels que le football se jouent en deux mi-temps séparées d’une pause de quinze minutes, aucun sport ne se pratique avec un troisième camp. De sorte que lorsqu’on perd une rencontre par le troisième camp, notre orgueil de compétiteur n’est nullement mis en jeu ni mis en cause ! A défaut de marquer des buts dans les deux camps initiaux, le ou les buts marqués dans le troisième (capitulation) apparait comme une prime pour saluer les efforts infructueux des buteurs ou pour faire simple, des buts de consolation. Des buts qui viennent établir le fait que les deux formations sont d’égale valeur, et qu’elles sont d’avis que la rencontre prenne fin sur un « score nul» de un à un ! Figurez-vous que les termes inédits de cette alchimie qui restent à promouvoir et que nous déclinons ici, ont un honneur qui est largement au-dessus d’un but marqué contre son camp (C.S.C.)! Heureusement qu’un digne fils de la trempe de Lobognon était-là pour attiser et prolonger le rêve des supporters, eux dont la fibre patriotique était mise à rude épreuve lors de cette compétition et de toutes celles qui engagent l’honneur du pays par le truchement de ces jeunesses sportives les mieux qualifiées. Cet homme, comme bien d’autres ici en Côte d’Ivoire, est un digne fils de la planète encore inaccessible de l’Ivoirien Nouveau ! Sur ce chapitre, l’invité d’un jour du « Fauteuil Blanc » de « Le Nouveau Réveil », relativement à la « posture morale » de la FIF, a dit, comme si c’était nécessaire, que cette fédération a mis sur pied une « équipe nationale de mafieux » à la tête de notre sport roi, le football ! Si cette affirmation du ministre des Sports qu’il a été se confirme au moment où dans mon esprit cela ne fait l’ombre d’aucun doute, il faut croire que ce sport (1er juin 2011 au 13 mai 2015) comme dans le milieu du transport en commun privé, notre respectable FIF a, elle aussi, sa légion de « gnambro » !
Drôle de pays !
KONE KOBALI
Libre auteur, créateur
En français facile, le gouvernement priait pour une élimination notamment à la phase basique de la compétition, afin de lui permettre de trouver des raisons valables pour son éviction du gouvernement pour insuffisance de résultats ! Pour contrer les porteurs de ces prières d’un autre genre, Lobognon s’était érigé pour seul dieu, un arsenal de transparence inédit dans l’écosystème du Football national. Comme Dieu ne constitue pas un épais matelas avec les dossiers de ses fils et filles qui se dévouent pour lui, la coupe de la CAN 2015 s’est retrouvée de façon « indésirée » sur les bords archi pollués de la lagune Ebrié. Au retour des joueurs triomphateurs, qui ne se souvient du large sourire que le père de cette éclatante victoire arborait ? Avec l’évocation in-extrémis de cette parenthèse qui est malheureusement intervenue dans la vie de notre Nation, j’ai été affalé et mis devant le fait incongru pour ne pas en dire davantage, qu’il était possible que dans le même gouvernement, peu importe le « mode » de sa composition, les premiers responsables de cette formation que j’imaginais comme une unité homogène et cousue de cohérence était malheureusement capable de secréter des « agendas secrets ».
Si quelqu’un nous disait qu’en fonction des circonstances et des intérêts en jeu, l’esprit d’équipe qui est pour nous la vertu cardinale d’un gouvernement pouvait être même de façon conjoncturelle mis sous le boisseau, je lui aurais dit, mais autant ne pas entériner la participation de notre pays à la phase finale de cette compétition dont rêve pourtant, tout footballeur peu importe le championnat dans lequel il évolue ! En effet, si parmi un nombre incalculable de joueurs, nous avons le distingué honneur d’être identifiés comme le onze national auxquels il revient de démarrer les matchs, la logique sportive et notre dévotion au respect et à la suprématie des couleurs nationales, voudraient que tous ensemble dans un élan patriotique, chacun à son poste « respectif », nous défendions pied-à-pied notre goal et que nos actions offensives soient coordonnées et dirigées immanquablement vers le camp adverse et, pas ailleurs d’autre !
Remarquons au passage que la plupart des sports collectifs ou individuels que nous pratiquons à l’échelle internationale, jusqu’ici, proposent deux camps. Si certains sports tels que le football se jouent en deux mi-temps séparées d’une pause de quinze minutes, aucun sport ne se pratique avec un troisième camp. De sorte que lorsqu’on perd une rencontre par le troisième camp, notre orgueil de compétiteur n’est nullement mis en jeu ni mis en cause ! A défaut de marquer des buts dans les deux camps initiaux, le ou les buts marqués dans le troisième (capitulation) apparait comme une prime pour saluer les efforts infructueux des buteurs ou pour faire simple, des buts de consolation. Des buts qui viennent établir le fait que les deux formations sont d’égale valeur, et qu’elles sont d’avis que la rencontre prenne fin sur un « score nul» de un à un ! Figurez-vous que les termes inédits de cette alchimie qui restent à promouvoir et que nous déclinons ici, ont un honneur qui est largement au-dessus d’un but marqué contre son camp (C.S.C.)! Heureusement qu’un digne fils de la trempe de Lobognon était-là pour attiser et prolonger le rêve des supporters, eux dont la fibre patriotique était mise à rude épreuve lors de cette compétition et de toutes celles qui engagent l’honneur du pays par le truchement de ces jeunesses sportives les mieux qualifiées. Cet homme, comme bien d’autres ici en Côte d’Ivoire, est un digne fils de la planète encore inaccessible de l’Ivoirien Nouveau ! Sur ce chapitre, l’invité d’un jour du « Fauteuil Blanc » de « Le Nouveau Réveil », relativement à la « posture morale » de la FIF, a dit, comme si c’était nécessaire, que cette fédération a mis sur pied une « équipe nationale de mafieux » à la tête de notre sport roi, le football ! Si cette affirmation du ministre des Sports qu’il a été se confirme au moment où dans mon esprit cela ne fait l’ombre d’aucun doute, il faut croire que ce sport (1er juin 2011 au 13 mai 2015) comme dans le milieu du transport en commun privé, notre respectable FIF a, elle aussi, sa légion de « gnambro » !
Drôle de pays !
KONE KOBALI
Libre auteur, créateur