Abidjan- Le 71e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme, a été célébré mercredi, par le Conseil national des droits de l’homme (CNDH), dans la commune d’Adjamé, qui a placé l’édition 2019 sur les droits des jeunes.
Selon la présidente du CNDH, cette journée internationale des droits de l’homme, qui marque également le 30e anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant, met en évidence le rôle primordial de la jeunesse dans les mouvements collectifs et les changements positifs et sur les capacités des jeunes en matière de défense des droits de l’homme.
« Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits », a-t-elle rappelé.
Dans ce sens, elle a invité les jeunes à s’approprier la déclaration universelle des droits de l'homme , le document fondateur qui proclame les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune.
Pour elle, les questions d’éducation, d’emploi, la santé, le handicap, l’immigration clandestine constituent, entre autres, les préoccupations de la jeunesse. C’est pourquoi elle pense qu’il faut faire connaitre leurs droits et les faire valoir en les écoutant, en leur donnant plus de pouvoir, plus de responsabilité dans la définition, la mise en œuvre et le suivi des politiques, projets et programmes.
Ainsi, encourage t-elle le gouvernement à poursuivre ses efforts dans la mise en œuvre des droits contenus dans la déclaration universelle des droits de l’homme et explicités dans la Constitution ivoirienne.
ibo/fmo
Selon la présidente du CNDH, cette journée internationale des droits de l’homme, qui marque également le 30e anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant, met en évidence le rôle primordial de la jeunesse dans les mouvements collectifs et les changements positifs et sur les capacités des jeunes en matière de défense des droits de l’homme.
« Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits », a-t-elle rappelé.
Dans ce sens, elle a invité les jeunes à s’approprier la déclaration universelle des droits de l'homme , le document fondateur qui proclame les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune.
Pour elle, les questions d’éducation, d’emploi, la santé, le handicap, l’immigration clandestine constituent, entre autres, les préoccupations de la jeunesse. C’est pourquoi elle pense qu’il faut faire connaitre leurs droits et les faire valoir en les écoutant, en leur donnant plus de pouvoir, plus de responsabilité dans la définition, la mise en œuvre et le suivi des politiques, projets et programmes.
Ainsi, encourage t-elle le gouvernement à poursuivre ses efforts dans la mise en œuvre des droits contenus dans la déclaration universelle des droits de l’homme et explicités dans la Constitution ivoirienne.
ibo/fmo