Le procureur de la République de Côte d'Ivoire a été saisi par le ministre ivoirien des transports, Amadou Koné, d'une plainte contre X pour violation grave des dispositions de sécurité aéroportuaires après la découverte à Paris du corps sans vie d'un « adolescent d'environ 17 ans» dans le train d'atterrissage d'un avion de la compagnie Air France en provenance d'Abidjan.
L'information a été donnée mercredi dans un communiqué du ministère ivoirien des transports transmis à APA.
« Des enquêtes sont ouvertes aussi bien en France qu'en Côte d'Ivoire pour déterminer l'identité du passager ainsi que les circonstances exactes de ce drame. Outre les enquêtes administratives qui ont débuté immédiatement après l'annonce du drame et dont les résultats sont attendus dans les meilleurs délais, le ministre des transports a saisi le procureur de la République d'une plainte contre X pour violation des dispositions de sécurité aéroportuaires et mise en danger de la vie d'autrui», indique le communiqué.
Selon le ministre des transports, à ce stade de l'enquête, il ressort qu'aucune intrusion ne s'est opérée sur le parking avion de l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny.
« Les investigations se poursuivent pour savoir où, à quel moment et si cela est avéré, avec quelles complicités, le passager clandestin a pu accéder au puits du train d'atterrissage de l'avion », a-t-il ajouté.
Poursuivant M. Koné a rassuré l'opinion nationale et internationale de ce que cet incident ne remet pas en cause les excellents résultats obtenus ces trois dernières années dans les domaines de la sûreté et de la sécurité aériennes par l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny.
Il a conclu en assurant également que les « dispositions nécessaires » sont prises pour que ce type d'incident ne se reproduise plus sur les aéroports ivoiriens.
La compagnie Air France a découvert ce mercredi dans le puits du train d'atterrissage du vol AF703 en provenance d'Abidjan du mardi 07 janvier 2020 par les services de piste de la compagnie à Paris, du corps sans vie d'un passager clandestin.
En plus de l'enquête ouverte par la compagnie aérienne, une commission d'investigation a été mise en place par les autorités ivoiriennes pour savoir les circonstances de ce drame.
LB/ls/APA
L'information a été donnée mercredi dans un communiqué du ministère ivoirien des transports transmis à APA.
« Des enquêtes sont ouvertes aussi bien en France qu'en Côte d'Ivoire pour déterminer l'identité du passager ainsi que les circonstances exactes de ce drame. Outre les enquêtes administratives qui ont débuté immédiatement après l'annonce du drame et dont les résultats sont attendus dans les meilleurs délais, le ministre des transports a saisi le procureur de la République d'une plainte contre X pour violation des dispositions de sécurité aéroportuaires et mise en danger de la vie d'autrui», indique le communiqué.
Selon le ministre des transports, à ce stade de l'enquête, il ressort qu'aucune intrusion ne s'est opérée sur le parking avion de l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny.
« Les investigations se poursuivent pour savoir où, à quel moment et si cela est avéré, avec quelles complicités, le passager clandestin a pu accéder au puits du train d'atterrissage de l'avion », a-t-il ajouté.
Poursuivant M. Koné a rassuré l'opinion nationale et internationale de ce que cet incident ne remet pas en cause les excellents résultats obtenus ces trois dernières années dans les domaines de la sûreté et de la sécurité aériennes par l'aéroport international Félix Houphouët-Boigny.
Il a conclu en assurant également que les « dispositions nécessaires » sont prises pour que ce type d'incident ne se reproduise plus sur les aéroports ivoiriens.
La compagnie Air France a découvert ce mercredi dans le puits du train d'atterrissage du vol AF703 en provenance d'Abidjan du mardi 07 janvier 2020 par les services de piste de la compagnie à Paris, du corps sans vie d'un passager clandestin.
En plus de l'enquête ouverte par la compagnie aérienne, une commission d'investigation a été mise en place par les autorités ivoiriennes pour savoir les circonstances de ce drame.
LB/ls/APA