Il y a quelques semaines, nous relations, dans nos colonnes, une terrible affaire de viol dont se serait rendu coupable M. André Calderat sur CGE, sa fillette de 4 ans. Cette ténébreuse affaire de famille trouvait sa source dans une accusation portée par Dame KAC contre son époux. L’affaire portée devant le tribunal de Première instance d’Abidjan vient de connaitre une décision importante qui, de façon irréversible, blanchit le père.
Relativement à cette affaire dont les ramifications étaient nombreuses avec des conséquences aussi lourdes que préjudiciables, le Sieur Calderat, se sentant injustement accusé pour un crime qu’il n’a pas commis, sur sa propre fille de surcroit, avait décidé de contre-attaquer. Alors les audiences, les décisions et les ordonnances étaient devenues le quotidien des différentes parties. Mais l’on pourrait affirmer que l’année 2020 mettra fin à cette bataille juridique, car à l’audience du 06 Janvier dernier, le Vice-président du Tribunal de Première Instance d’Abidjan-Plateau, tenant audience publique des référés, a ordonné la rétractation de l’ordonnance No2378/2019 du 16 Juillet 2019 rendue par le Juge aux affaires familiales du Tribunal de Première Instance d’Abidjan-Plateau…’’Statuant publiquement, contradictoirement, en matière de référé et en premier ressort ; au principal, renvoyons les parties à se pourvoir ainsi qu’elles aviseront ; mais dès à présent, vu l’urgence, rejetons l’exception d’incompétence soulevée ; nous déclarons compétent Monsieur Franck Emmanuel André Calderat recevable en son action ; l’y déclarons bien fondé ; ordonnons la rétractation partielle de l’ordonnance no 2378/2019 du 16 Juillet 2109 pour avoir accordé la garde juridique de l’enfant CGEMA à la mère, et de dire que ledit enfant doit demeurer au domicile conjugal jusqu’à ce que le Tribunal saisi de la procédure de divorce des époux Calderat, se prononce sur les mesures provisoires ; accordons à la mère un droit de visite et d’hébergement qui s’exercera les 3èmes week-ends de chaque mois, allant de Vendredi à 18h au Dimanche à 16h, et pendant la première moitié des grandes et petites vacances scolaires. Condamnons Dame KAV épse Calderat aux entiers dépens de l’instance’’.
C’est donc par ces motifs que la justice blanchit le père victime de dénonciation calomnieuse. Avec cette décision, il est clair que les accusations de viol et autres liées à ladite affaire ‘’tombent à l’eau’’, puisque la garde de sa fille lui est désormais confiée. Et en vertu de cette ordonnance, toutes les forces légales peuvent être requises pour faire respecter cette décision qui doit être notifiée par un commissaire de justice, à l’accusatrice.
SOUM JM
Relativement à cette affaire dont les ramifications étaient nombreuses avec des conséquences aussi lourdes que préjudiciables, le Sieur Calderat, se sentant injustement accusé pour un crime qu’il n’a pas commis, sur sa propre fille de surcroit, avait décidé de contre-attaquer. Alors les audiences, les décisions et les ordonnances étaient devenues le quotidien des différentes parties. Mais l’on pourrait affirmer que l’année 2020 mettra fin à cette bataille juridique, car à l’audience du 06 Janvier dernier, le Vice-président du Tribunal de Première Instance d’Abidjan-Plateau, tenant audience publique des référés, a ordonné la rétractation de l’ordonnance No2378/2019 du 16 Juillet 2019 rendue par le Juge aux affaires familiales du Tribunal de Première Instance d’Abidjan-Plateau…’’Statuant publiquement, contradictoirement, en matière de référé et en premier ressort ; au principal, renvoyons les parties à se pourvoir ainsi qu’elles aviseront ; mais dès à présent, vu l’urgence, rejetons l’exception d’incompétence soulevée ; nous déclarons compétent Monsieur Franck Emmanuel André Calderat recevable en son action ; l’y déclarons bien fondé ; ordonnons la rétractation partielle de l’ordonnance no 2378/2019 du 16 Juillet 2109 pour avoir accordé la garde juridique de l’enfant CGEMA à la mère, et de dire que ledit enfant doit demeurer au domicile conjugal jusqu’à ce que le Tribunal saisi de la procédure de divorce des époux Calderat, se prononce sur les mesures provisoires ; accordons à la mère un droit de visite et d’hébergement qui s’exercera les 3èmes week-ends de chaque mois, allant de Vendredi à 18h au Dimanche à 16h, et pendant la première moitié des grandes et petites vacances scolaires. Condamnons Dame KAV épse Calderat aux entiers dépens de l’instance’’.
C’est donc par ces motifs que la justice blanchit le père victime de dénonciation calomnieuse. Avec cette décision, il est clair que les accusations de viol et autres liées à ladite affaire ‘’tombent à l’eau’’, puisque la garde de sa fille lui est désormais confiée. Et en vertu de cette ordonnance, toutes les forces légales peuvent être requises pour faire respecter cette décision qui doit être notifiée par un commissaire de justice, à l’accusatrice.
SOUM JM