La Coalition du secteur éducation formation de Côte d’Ivoire (Cosefci dirigée par Ako Nomel a lancé un mot d’ordre de grève qui entre en vigueur ce mardi 28 janvier 2020.
Cela a suffi pour que le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara, donne de la voix dans un communiqué diffusé, le dimanche dernier, contenant des menaces.
«…Les enseignants grévistes , les fauteurs de troubles et les auteurs d’actes répréhensibles seront tenus pour responsables des effets de leurs comportements et attitudes et assumeront les conséquences » , a-t-elle mis en garde. Joint, hier, Ako Nomel, l’un des responsables du mouvement, a été sans détour. « Notre grève est bel et bien maintenue pour 72 heures.
Les menaces sont des habitudes du ministre Kandia Camara. Les problèmes sont posés et au lieu de chercher à les résoudre, la ministre ne procède que par des menaces.
Elle a toujours été dans ce rôle. Donc elle est dans son rôle. Nous, nous voulons montrer à l’opinion que nous avons des préoccupations », a affirmé Ako Nomel.
La Cosefci revendique principalement la revalorisation des indemnités de logement des instituteurs et professeurs du secondaire.
Cela a suffi pour que le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara, donne de la voix dans un communiqué diffusé, le dimanche dernier, contenant des menaces.
«…Les enseignants grévistes , les fauteurs de troubles et les auteurs d’actes répréhensibles seront tenus pour responsables des effets de leurs comportements et attitudes et assumeront les conséquences » , a-t-elle mis en garde. Joint, hier, Ako Nomel, l’un des responsables du mouvement, a été sans détour. « Notre grève est bel et bien maintenue pour 72 heures.
Les menaces sont des habitudes du ministre Kandia Camara. Les problèmes sont posés et au lieu de chercher à les résoudre, la ministre ne procède que par des menaces.
Elle a toujours été dans ce rôle. Donc elle est dans son rôle. Nous, nous voulons montrer à l’opinion que nous avons des préoccupations », a affirmé Ako Nomel.
La Cosefci revendique principalement la revalorisation des indemnités de logement des instituteurs et professeurs du secondaire.