Arrêté à Abidjan, le 24 décembre 2019 pour publication de fausses nouvelles portant atteinte à l’ordre public et à l’autorité d’État, Alain Lobognon et de nombreux proches de Guillaume Soro ont été écroués dans plusieurs prisons du pays.
En raison de la pandémie du coronavirus, de nombreuses institutions internationales, particulièrement l’ONU, l’OMS et autres avaient demandé aux différents chefs d’Etat de libérer des prisonniers afin d’éviter la trop grande propagation de la maladie.
Les mêmes institutions, notamment Amnesty international avait demandé la libération des compagnons de Guillaume Soro. Demande qu’Alassane Ouattara n’a pas accepté. Cela dit, le gouvernement a promis de surveiller l’état de santé du député de Fresco à travers un médecin.
Ce qu’Amnesty international a salué tout en interpellant le Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme sur la santé du député qui souffre d’hypertension artérielle et qui a subi en 2019 une intervention chirurgicale.
«Le 23 mars 2020, Alain Lobognon qui est en détention provisoire dans la prison d’Agboville avait présenté des symptômes du paludisme. Il est resté au lit dans sa cellule pendant quatre jours », précise le courrier adressé à Sansan Kambilé.
En raison de la pandémie du coronavirus, de nombreuses institutions internationales, particulièrement l’ONU, l’OMS et autres avaient demandé aux différents chefs d’Etat de libérer des prisonniers afin d’éviter la trop grande propagation de la maladie.
Les mêmes institutions, notamment Amnesty international avait demandé la libération des compagnons de Guillaume Soro. Demande qu’Alassane Ouattara n’a pas accepté. Cela dit, le gouvernement a promis de surveiller l’état de santé du député de Fresco à travers un médecin.
Ce qu’Amnesty international a salué tout en interpellant le Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme sur la santé du député qui souffre d’hypertension artérielle et qui a subi en 2019 une intervention chirurgicale.
«Le 23 mars 2020, Alain Lobognon qui est en détention provisoire dans la prison d’Agboville avait présenté des symptômes du paludisme. Il est resté au lit dans sa cellule pendant quatre jours », précise le courrier adressé à Sansan Kambilé.