Un mois après la mise en œuvre du projet "Mon école à la maison", une mission du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle a investi le terrain à Man, pour s'enquérir de l’effectivité de cette innovation.
« Ce projet vise à faire barrière à la pandémie à coronavirus afin que l'école ne devienne pas un lieu d'incubation et que l'année scolaire soit validée. Ce qui cadre avec le slogan "Ecole fermée mais cahier ouvert". Après un mois de mise en œuvre de ce projet important, le ministère de l'Education a lancé une vaste tournée nationale à l'intérieur afin de voir comment ce projet est mis en œuvre », a expliqué mardi, le chef de délégation, Inza Bamba.
Cette mission a fait l'état des lieux au niveau des comités de gestion des établissements scolaires (COGES) ainsi que des autorités administratives, en s’informant sur les points de satisfaction et insuffisance éventuelle du projet, tout en continuant la sensibilisation pour l’implication de toutes les parties prenantes.
« Il nous reste 200 heures que nous devons colmater pour boucler l'année. Ce ne sont pas des cours facultatifs, c’est seulement l'école qui s'invite dans nos foyers. Ce n'est pas une vue d'esprit. L'année scolaire sera bel et bien validée. Il faut que chacun se mobilise autour de cette innovation pour que les apprenants soient impactés. Le ministère joue sa partition, il faut que la communauté joue la sienne », a ajouté Inza Bamba.
Une dizaine de familles a été visitée et écoutée à Man. Par ailleurs, M. Bamba a exhorté les cadres à aider les villages où les populations n’ont pas de télé et de radio pour que les enfants puissent suivre les cours à travers ces canaux.
(AIP)
amak/cmas
« Ce projet vise à faire barrière à la pandémie à coronavirus afin que l'école ne devienne pas un lieu d'incubation et que l'année scolaire soit validée. Ce qui cadre avec le slogan "Ecole fermée mais cahier ouvert". Après un mois de mise en œuvre de ce projet important, le ministère de l'Education a lancé une vaste tournée nationale à l'intérieur afin de voir comment ce projet est mis en œuvre », a expliqué mardi, le chef de délégation, Inza Bamba.
Cette mission a fait l'état des lieux au niveau des comités de gestion des établissements scolaires (COGES) ainsi que des autorités administratives, en s’informant sur les points de satisfaction et insuffisance éventuelle du projet, tout en continuant la sensibilisation pour l’implication de toutes les parties prenantes.
« Il nous reste 200 heures que nous devons colmater pour boucler l'année. Ce ne sont pas des cours facultatifs, c’est seulement l'école qui s'invite dans nos foyers. Ce n'est pas une vue d'esprit. L'année scolaire sera bel et bien validée. Il faut que chacun se mobilise autour de cette innovation pour que les apprenants soient impactés. Le ministère joue sa partition, il faut que la communauté joue la sienne », a ajouté Inza Bamba.
Une dizaine de familles a été visitée et écoutée à Man. Par ailleurs, M. Bamba a exhorté les cadres à aider les villages où les populations n’ont pas de télé et de radio pour que les enfants puissent suivre les cours à travers ces canaux.
(AIP)
amak/cmas