Abidjan- L’Entente syndicale du secteur éducation-formation (ESEF) réclame une prime de risques, d’un montant de 50.000 FCFA, pour les enseignants et le personnel administratif du secteur, au regard, selon l’organisation syndicale, les risques liés à la contamination de la maladie à coronavirus (Covid-19) auxquelles les acteurs du secteur éducation sont exposés depuis la reprise des cours.
Cette requête été formulée samedi, par son porte-parole, Arnaud Boka, au cours d’une conférence de presse animée au son siège du syndicat sis à Yopougon Agbayaté.
Selon Arnaud Boka, la satisfaction de leurs revendications sera une source de motivation des travailleurs du secteur éducation-formation. « Cette prime de risques encouragerait les enseignants à se donner davantage et à donner le meilleur d’eux-mêmes », a-t-il ajouté.
« Nous souhaitons aussi la dotation, dans un bref délai, de toutes les écoles en kits sanitaires et autres dispositifs de lavage des mains et la mise à disposition des masques de protection au profit des apprenants et des enseignants ainsi que des personnels d’encadrement », a indiqué le porte-parole de l’ESEF.
Il a soutenu que « la politique de deux poids deux mesures avec un traitement de privilège à Abidjan au détriment du reste du pays entraîne chez les enseignants un sentiment de mépris. Et cela, malgré leur esprit de civisme et de patriotisme qui les pousse à assurer une éducation de qualité ».
Tg/kp
Cette requête été formulée samedi, par son porte-parole, Arnaud Boka, au cours d’une conférence de presse animée au son siège du syndicat sis à Yopougon Agbayaté.
Selon Arnaud Boka, la satisfaction de leurs revendications sera une source de motivation des travailleurs du secteur éducation-formation. « Cette prime de risques encouragerait les enseignants à se donner davantage et à donner le meilleur d’eux-mêmes », a-t-il ajouté.
« Nous souhaitons aussi la dotation, dans un bref délai, de toutes les écoles en kits sanitaires et autres dispositifs de lavage des mains et la mise à disposition des masques de protection au profit des apprenants et des enseignants ainsi que des personnels d’encadrement », a indiqué le porte-parole de l’ESEF.
Il a soutenu que « la politique de deux poids deux mesures avec un traitement de privilège à Abidjan au détriment du reste du pays entraîne chez les enseignants un sentiment de mépris. Et cela, malgré leur esprit de civisme et de patriotisme qui les pousse à assurer une éducation de qualité ».
Tg/kp