Séguéla– Un ‘’plan Marshall’’ a été requis mercredi, à l’occasion d’une cérémonie, par le proviseur du lycée moderne Dominique Ouattara de Séguéla, Ouattara Bakary, afin de permettre à cet établissement confronté à maintes difficultés de sortir de l’ornière.
« Aidez-nous à améliorer l’offre éducative du lycée en mettant en place un plan Marshall. Le lycée n’a aucun labo. Les expériences se font au tableau et les élèves doivent imaginer les résultats de ces expériences », a dépeint le proviseur qui s'exprimait lors de la remise de 150 tables-bancs par le Conseil régional du Worodougou.
Construit en 1963, le lycée moderne Dominique Ouattara de Séguéla est fréquenté aujourd’hui par 3 624 élèves avec une capacité d’accueil largement dépassée et des infrastructures en état de délabrement avancé, a-t-on pu constater.
« Le lycée ne dispose pas véritablement d’infrastructures sportives, sinon qu’il n’a que des installations de fortune », a ajouté le proviseur qui a énuméré, entre autres, la réhabilitation en urgence de 13 salles de classe, de la cantine, de l’administration ainsi que des bureaux, la construction de salles spécialisées et d’un foyer.
Promettant d’’’essayer, dans les années qui viennent, de remédier à cela’’, le président du Conseil régional du Worodougou, Bouaké Fofana, dont la structure avait procédé, il y a quelques années, à la réhabilitation de six salles de classe et à la réfection des installations électriques qui dataient de 1979 a souhaité l’engagement de tous pour une école de qualité à Séguéla.
kkp/ask
« Aidez-nous à améliorer l’offre éducative du lycée en mettant en place un plan Marshall. Le lycée n’a aucun labo. Les expériences se font au tableau et les élèves doivent imaginer les résultats de ces expériences », a dépeint le proviseur qui s'exprimait lors de la remise de 150 tables-bancs par le Conseil régional du Worodougou.
Construit en 1963, le lycée moderne Dominique Ouattara de Séguéla est fréquenté aujourd’hui par 3 624 élèves avec une capacité d’accueil largement dépassée et des infrastructures en état de délabrement avancé, a-t-on pu constater.
« Le lycée ne dispose pas véritablement d’infrastructures sportives, sinon qu’il n’a que des installations de fortune », a ajouté le proviseur qui a énuméré, entre autres, la réhabilitation en urgence de 13 salles de classe, de la cantine, de l’administration ainsi que des bureaux, la construction de salles spécialisées et d’un foyer.
Promettant d’’’essayer, dans les années qui viennent, de remédier à cela’’, le président du Conseil régional du Worodougou, Bouaké Fofana, dont la structure avait procédé, il y a quelques années, à la réhabilitation de six salles de classe et à la réfection des installations électriques qui dataient de 1979 a souhaité l’engagement de tous pour une école de qualité à Séguéla.
kkp/ask