Le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo, a procédé le mardi 11 août 2020, à Abidjan, au lancement de la Banque de données des prix de référence (BDPR), créée par arrêté le 9 avril 2020, pour mieux faire les prévisions budgétaires et consolider la qualité du contrôle de l’exécution du budget.
Lors du lancement de la BDPR, en présence des acteurs de la dépense publique, notamment les acheteurs publics, les organes de contrôle, les maîtres d’ouvrage délégués et le secteur privé, l’applicatif BDPR, le mode d’utilisation, ainsi que le Comité en charge de son suivi ont été présentés.
Selon Moussa Sanogo, la BDPR donne une série d’indicateurs pertinents qui permettront de mieux faire les prévisions budgétaires et de consolider la qualité du contrôle de l’exécution du budget.
Cet outil, a-t-il poursuivi, “permettra de dégager des marges budgétaires afin de permettre à l’Etat de disposer de moyens supplémentaires pour améliorer les conditions de vie des populations dans les domaines de la santé, de l’éducation, des infrastructures…, toutes choses nécessaires à la réduction de la pauvreté”.
La mise en place de la BDPR est inspirée de la volonté du gouvernement de renforcer l’assainissement des finances publiques en assurant une bonne maîtrise des dépenses publiques à travers la maîtrise des prix, précise-t-on.
Dans le cadre de l’assainissement des finances publiques, des mesures ont été prises par l’Etat de Côte d’Ivoire, notamment la maîtrise du budget de fonctionnement et d’investissement à travers une bonne connaissance des prix unitaires des fournitures, des services et des travaux par les acteurs de la chaîne du système des finances publiques.
La mise en place de la de la BDPR a été conduite par la Direction des marchés publics (DMP) et la direction du contrôle financier (DCF), avec l’assistance technique du Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD).
apk/ask
Lors du lancement de la BDPR, en présence des acteurs de la dépense publique, notamment les acheteurs publics, les organes de contrôle, les maîtres d’ouvrage délégués et le secteur privé, l’applicatif BDPR, le mode d’utilisation, ainsi que le Comité en charge de son suivi ont été présentés.
Selon Moussa Sanogo, la BDPR donne une série d’indicateurs pertinents qui permettront de mieux faire les prévisions budgétaires et de consolider la qualité du contrôle de l’exécution du budget.
Cet outil, a-t-il poursuivi, “permettra de dégager des marges budgétaires afin de permettre à l’Etat de disposer de moyens supplémentaires pour améliorer les conditions de vie des populations dans les domaines de la santé, de l’éducation, des infrastructures…, toutes choses nécessaires à la réduction de la pauvreté”.
La mise en place de la BDPR est inspirée de la volonté du gouvernement de renforcer l’assainissement des finances publiques en assurant une bonne maîtrise des dépenses publiques à travers la maîtrise des prix, précise-t-on.
Dans le cadre de l’assainissement des finances publiques, des mesures ont été prises par l’Etat de Côte d’Ivoire, notamment la maîtrise du budget de fonctionnement et d’investissement à travers une bonne connaissance des prix unitaires des fournitures, des services et des travaux par les acteurs de la chaîne du système des finances publiques.
La mise en place de la de la BDPR a été conduite par la Direction des marchés publics (DMP) et la direction du contrôle financier (DCF), avec l’assistance technique du Bureau national d’études techniques et de développement (BNETD).
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