Incarcéré à la prison civile de Bouaké depuis une dizaine de jours, le chanteur S-Kelly a été condamné à 12 mois de prison avec sursis assortis d’une amende de 200.000 fcfa et devrait retrouver la liberté ce vendredi 14 aout 2020, selon des sources concordantes.
L’Oiseaux de Dieu ou encore le petit Fils de Abla Pokou s’était rendu coupable d’injures publiques envers le président Alassane Ouattara et le premier ministre Hamed Bakayoko à travers une vidéo sur les réseaux sociaux.
Ce séjour aurait pu s’éterniser mais l’artiste va bénéficier de la clémence des autorités.
Aussi, un plaidoyer fait par un collectif d’artistes, avec à leur tête Traoré Salif (Asalfo), lead vocal du groupe Magic System, a contribué à mettre les choses dans l’ordre pour l’artiste qui a souvent des sorties très controversées .
En effet, profitant d’une audience que leur a accordé le premier ministre dimanche dernier, Asalfo avait plaidé pour la remise en liberté de S-Kelly. Chose qui semble avoir porté ses fruits.
« Nous avons l’un des nôtres qui a eu un dérapage et qui est incarcéré à la prison civile de Bouaké. Nous avons donc au nom des acteurs culturels présenté nos excuses au Premier ministre pour les transmettre au président de la République et demander sa clémence afin qu’il soit libéré (…) nous espérons donc que cela aboutira à sa libération » avait plaidé Asalfo.
Atapointe
L’Oiseaux de Dieu ou encore le petit Fils de Abla Pokou s’était rendu coupable d’injures publiques envers le président Alassane Ouattara et le premier ministre Hamed Bakayoko à travers une vidéo sur les réseaux sociaux.
Ce séjour aurait pu s’éterniser mais l’artiste va bénéficier de la clémence des autorités.
Aussi, un plaidoyer fait par un collectif d’artistes, avec à leur tête Traoré Salif (Asalfo), lead vocal du groupe Magic System, a contribué à mettre les choses dans l’ordre pour l’artiste qui a souvent des sorties très controversées .
En effet, profitant d’une audience que leur a accordé le premier ministre dimanche dernier, Asalfo avait plaidé pour la remise en liberté de S-Kelly. Chose qui semble avoir porté ses fruits.
« Nous avons l’un des nôtres qui a eu un dérapage et qui est incarcéré à la prison civile de Bouaké. Nous avons donc au nom des acteurs culturels présenté nos excuses au Premier ministre pour les transmettre au président de la République et demander sa clémence afin qu’il soit libéré (…) nous espérons donc que cela aboutira à sa libération » avait plaidé Asalfo.
Atapointe