Abidjan - Le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Raoul Koné, a lancé le mardi 25 août 2020, la formation initiale et continue des enseignants, éducateurs, directeurs d’études et directeurs d’écoles à l’exercice de la fonction enseignante et de direction.
« Cette formation est d’une extrême importance. S’il y a des établissements privés, il n’y a pas d’élève privé. Dans le cadre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans, l’Etat a recours aux établissements privés pour former l’ensemble des enfants dans l’équité », a déclaré M. Koné lors de la cérémonie qui se déroulait au collège moderne du Plateau.
Pour le directeur de cabinet et l’ensemble de sa délégation, il s’agit de former des professionnels de l’enseignement capables d’atteindre de bonnes performances pour qu’il n’y ait plus « d’élèves nuls ».
« C’est à l’école de s’adapter à l’enfant et non à l’enfant de s’adapter à l’école », a clamé l’inspecteur général, Ibrahima Kourouma. Il a insisté sur le fait que l’obligation soit faite à l’école pour que l’enfant apprenne dans de bonnes conditions et soit performant et pour cela, l’enseignant et l’école doivent s’améliorer chaque jour.
Les établissements scolaires privés du primaire au secondaire absorbent plus de 40% des 120.000 des élèves du système éducatif dont l’Etat doit s’assurer de la qualité de la formation dispensée par des outils d’évaluation de leurs efficacité et efficience.
Les auditeurs de ces formations des personnels des établissements privés sont passés de 105 en 2011 à plus de 4.850 cette année. Preuve, pour le ministère, de l’engouement des requérants qui améliorent leurs méthodes pédagogiques d’enseignement.
Avant Abidjan, avec 2.832 auditeurs, où la formation d’une semaine s’achève le 30 août, la ville de Yamoussoukro a abrité ces séances du 16 au 23 août avec 437 auditeurs, Bouaké, avec 744 auditeurs et Daloa avec 752 auditeurs.
Les modules de formation des enseignants portent sur la didactique, les méthodologies, l’appropriation des programmes, la préparation des fiches de leçons, l’évaluation des apprentissages, la tenue des documents et la gestion de la classe, les prestations pédagogiques du micro-enseignement, la pédagogie différenciée, la déontologie de la fonction enseignante.
Pour les administratifs, il s’agit de la connaissance du système éducatif, de l’encadrement des élèves, de l’organisation de l’établissement, de l’immatriculation des élèves, de l’approche genre, de l’écriture et des procédures administratives, des inscriptions, du management, du dispositif pédagogique ou encore de la confection des emplois du temps.
aaa/cmas
« Cette formation est d’une extrême importance. S’il y a des établissements privés, il n’y a pas d’élève privé. Dans le cadre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans, l’Etat a recours aux établissements privés pour former l’ensemble des enfants dans l’équité », a déclaré M. Koné lors de la cérémonie qui se déroulait au collège moderne du Plateau.
Pour le directeur de cabinet et l’ensemble de sa délégation, il s’agit de former des professionnels de l’enseignement capables d’atteindre de bonnes performances pour qu’il n’y ait plus « d’élèves nuls ».
« C’est à l’école de s’adapter à l’enfant et non à l’enfant de s’adapter à l’école », a clamé l’inspecteur général, Ibrahima Kourouma. Il a insisté sur le fait que l’obligation soit faite à l’école pour que l’enfant apprenne dans de bonnes conditions et soit performant et pour cela, l’enseignant et l’école doivent s’améliorer chaque jour.
Les établissements scolaires privés du primaire au secondaire absorbent plus de 40% des 120.000 des élèves du système éducatif dont l’Etat doit s’assurer de la qualité de la formation dispensée par des outils d’évaluation de leurs efficacité et efficience.
Les auditeurs de ces formations des personnels des établissements privés sont passés de 105 en 2011 à plus de 4.850 cette année. Preuve, pour le ministère, de l’engouement des requérants qui améliorent leurs méthodes pédagogiques d’enseignement.
Avant Abidjan, avec 2.832 auditeurs, où la formation d’une semaine s’achève le 30 août, la ville de Yamoussoukro a abrité ces séances du 16 au 23 août avec 437 auditeurs, Bouaké, avec 744 auditeurs et Daloa avec 752 auditeurs.
Les modules de formation des enseignants portent sur la didactique, les méthodologies, l’appropriation des programmes, la préparation des fiches de leçons, l’évaluation des apprentissages, la tenue des documents et la gestion de la classe, les prestations pédagogiques du micro-enseignement, la pédagogie différenciée, la déontologie de la fonction enseignante.
Pour les administratifs, il s’agit de la connaissance du système éducatif, de l’encadrement des élèves, de l’organisation de l’établissement, de l’immatriculation des élèves, de l’approche genre, de l’écriture et des procédures administratives, des inscriptions, du management, du dispositif pédagogique ou encore de la confection des emplois du temps.
aaa/cmas