Korhogo, Les cours ont commencé, lundi 21 septembre 2020, dans les établissements publics de la ville de Korhogo, a constaté l’AIP sur place, la vitesse de croisière n'étant pas encore au rendez-vous, une dizaine de jours après la date officielle de la rentrée des classes.
Ce matin, au groupe scolaire Ouezzin Coulibaly, des enseignants, par groupe de deux ou de trois selon la proximité de leur classe, discutent, tandis que les écoliers, encore heureux de se retrouver, bavardent bruyamment à l’intérieur.
« Les enfants viennent de vacances. Il faut commencer doucement. Pour le moment, on leur donne de petits exercices de révision pour les remettre en train », explique l’un d’eux.
Un peu plus loin, le lycée Houphouët Boigny est dans la même cadence. Les premiers cours ont commencé depuis lundi également. Mais dans les bureaux des éducateurs, les inscriptions physiques se poursuivent.
Ici, les élèves ne sont pas autorisés à assister aux cours avant d’avoir terminé leur inscription. Ils prennent donc le train en marche au fur et à mesure.
« Tout ce premier mois est consacrée au révision. C’est le programme que nous avons reçu cette année », indique M. Dosso Ismaïlia, enseignant d’histoire et de géographie dans l’établissement.
Quant aux des établissements du privé, ils semblent encore attendre, dans l’ensemble, que des parents viennent inscrire leurs enfants. Mais ceux-ci trainent les pas.
« Les cours n’ont pas encore commencé », déclare une secrétaire au collège Bethléem.
Quelques établissements privés se démarquent toutefois, à l’instar des établissements catholiques qui ont commencé leurs enseignements dans la première semaine de la rentrée.
A ces établissements confessionnels, s’ajoute Le paradis des anges, une école primaire privée. « Ils ont déjà commencé à faire copier les enfants », a confirmé Bamba Ami, une jeune dame dont l’enfant fréquente l’établissement.
(AIP)
kaem/ask
Ce matin, au groupe scolaire Ouezzin Coulibaly, des enseignants, par groupe de deux ou de trois selon la proximité de leur classe, discutent, tandis que les écoliers, encore heureux de se retrouver, bavardent bruyamment à l’intérieur.
« Les enfants viennent de vacances. Il faut commencer doucement. Pour le moment, on leur donne de petits exercices de révision pour les remettre en train », explique l’un d’eux.
Un peu plus loin, le lycée Houphouët Boigny est dans la même cadence. Les premiers cours ont commencé depuis lundi également. Mais dans les bureaux des éducateurs, les inscriptions physiques se poursuivent.
Ici, les élèves ne sont pas autorisés à assister aux cours avant d’avoir terminé leur inscription. Ils prennent donc le train en marche au fur et à mesure.
« Tout ce premier mois est consacrée au révision. C’est le programme que nous avons reçu cette année », indique M. Dosso Ismaïlia, enseignant d’histoire et de géographie dans l’établissement.
Quant aux des établissements du privé, ils semblent encore attendre, dans l’ensemble, que des parents viennent inscrire leurs enfants. Mais ceux-ci trainent les pas.
« Les cours n’ont pas encore commencé », déclare une secrétaire au collège Bethléem.
Quelques établissements privés se démarquent toutefois, à l’instar des établissements catholiques qui ont commencé leurs enseignements dans la première semaine de la rentrée.
A ces établissements confessionnels, s’ajoute Le paradis des anges, une école primaire privée. « Ils ont déjà commencé à faire copier les enfants », a confirmé Bamba Ami, une jeune dame dont l’enfant fréquente l’établissement.
(AIP)
kaem/ask