Des parents d’élèves des zones rurales de Grabo refusent de faire venir leurs enfants dans les établissements situés dans la commune, avant la fin de l’élection présidentielle, évoquant une psychose liée à cet événement.
Selon les comités de gestion des établissements scolaires (COGES) de la commune, notamment celui du lycée de Grabo, des élèves sont encore dans les villages sur instruction de leurs parents qui attendent le déroulement du scrutin du 31 octobre 2020.
D'autres relèvent que Grabo fait partie des zones fragiles où règnent fréquemment les troubles et l'insécurité.
Cependant, les cours ont débuté et se poursuivent avec les nouvelles progressions et programmes. Les assemblées générales des COGES ont eu lieu au début du mois d'octobre, et ont permis de fixer les différents montants des inscriptions, ainsi que les effectifs des classes.
Selon les comités de gestion des établissements scolaires (COGES) de la commune, notamment celui du lycée de Grabo, des élèves sont encore dans les villages sur instruction de leurs parents qui attendent le déroulement du scrutin du 31 octobre 2020.
D'autres relèvent que Grabo fait partie des zones fragiles où règnent fréquemment les troubles et l'insécurité.
Cependant, les cours ont débuté et se poursuivent avec les nouvelles progressions et programmes. Les assemblées générales des COGES ont eu lieu au début du mois d'octobre, et ont permis de fixer les différents montants des inscriptions, ainsi que les effectifs des classes.