Abidjan- Le secrétaire général de Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), Saint Clair Allah, plaide pour la réintégration de milliers d’élèves ‘’arbitrairement’’ exclus du système éducatif ivoirien sur la base d’’une simple présomption de fraude’’.
Il a exprimé ce vœu à l’occasion d’une conférence de presse animée mardi 10 novembre 2020, rapporte une note d’information transmise à l’AIP.
Saint Clair Allah a appelé au sens de la responsabilité et de l’engagement de tous les acteurs et partenaires du système éducatif ivoirien pour la résolution rapide et objective de cette situation, surtout afin d’éviter d'éventuelles perturbations de l'année scolaire 2020-2021.
« La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire, tout en réaffirmant sa ferme opposition à la médiocrité et à la fraude en milieu scolaire, demande que les responsabilités soient situées de part et d’autre (c’est-à-dire entre Élèves présumés fraudeurs et les éventuels complices employés par le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle à l’issue des enquêtes menées par une commission nationale d’enquête) », a-t-il indiqué.
Le secrétaire général national de la FESCI a également souhaité la réinstauration de la double correction et la mise en place d’un mécanisme fiable d’organisation des examens à grand tirage.
tg/cmas
Il a exprimé ce vœu à l’occasion d’une conférence de presse animée mardi 10 novembre 2020, rapporte une note d’information transmise à l’AIP.
Saint Clair Allah a appelé au sens de la responsabilité et de l’engagement de tous les acteurs et partenaires du système éducatif ivoirien pour la résolution rapide et objective de cette situation, surtout afin d’éviter d'éventuelles perturbations de l'année scolaire 2020-2021.
« La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire, tout en réaffirmant sa ferme opposition à la médiocrité et à la fraude en milieu scolaire, demande que les responsabilités soient situées de part et d’autre (c’est-à-dire entre Élèves présumés fraudeurs et les éventuels complices employés par le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle à l’issue des enquêtes menées par une commission nationale d’enquête) », a-t-il indiqué.
Le secrétaire général national de la FESCI a également souhaité la réinstauration de la double correction et la mise en place d’un mécanisme fiable d’organisation des examens à grand tirage.
tg/cmas