Abidjan- Le ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo, a promis vendredi 20 novembre 2020, au terme de l’adoption du projet de budget 2021 par les députés membres de la Commission des affaires économiques et financières (CAEF) de l’Assemblée nationale, le renforcement du contrôle dans l’exécution des dépenses de l’Etat.
M. Sanogo a prévenu qu’un accent particulier sera mis sur le respect de la discipline budgétaire, le renforcement du contrôle à priori et le suivi de la capacité d’absorption des crédits d’investissement.
«C’est déjà une grande satisfaction de savoir que la loi de finances 2021 a été adoptée par l’Assemblée nationale. Nous avons là, un budget qui, comme l’année dernière, s’organise en dotations et en programmes mais cette année budgétaire va être marquée par les premières évaluations de ce qui a été exécuté l’année dernière, avec la juridiction financière qu’est la cour des comptes», a-t-il ajouté.
Selon lui, l’atteinte des objectifs poursuivis à travers ce projet de budget requiert la mise en œuvre de mesures d’encadrements de son exécution ainsi que des réformes nécessaires pour améliorer le recouvrement des ressources et l’efficacité des dépenses
Le projet de budget pour l’année 2021 qui s’équilibre en ressources et en charges à 8621,1 milliards de francs CFA, en hausse de 6,9% par rapport à 2020 a été élaboré dans un contexte marqué par la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID-19 et par la préparation et la tenue de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Ce budget, deuxième budget-programmes, est structuré en 35 dotations et 149 programmes budgétés au sein des institutions et ministères. Il devrait permettre la reprise de la croissance de l’économie nationale avec un taux de 6,5% en 2021 contre 1,8% en 2020 avec la bonne tenue de la demande tirée par le dynamise des investissements (6,7%) et la consolidation de la consommation finale des ménages (5,4%).
Les ministres et secrétaires d’Etat se sont succédé devant les membres de la CAEF, du mardi 17 au vendredi 20 novembre 2020, pour défendre leurs crédits budgétaires prévus pour leurs différents programmes.
Saluant les débats approfondis et fructueux durant les quatre jours, Moussa Sanogo a certifié que le gouvernement tiendra compte des recommandations des élus du peuple pour une gestion inclusive des finances publiques.
Après l’Assemblée nationale, ce même exercice se fera dans les jours à venir devant le Sénat à Yamoussoukro.
bsp/fmo
M. Sanogo a prévenu qu’un accent particulier sera mis sur le respect de la discipline budgétaire, le renforcement du contrôle à priori et le suivi de la capacité d’absorption des crédits d’investissement.
«C’est déjà une grande satisfaction de savoir que la loi de finances 2021 a été adoptée par l’Assemblée nationale. Nous avons là, un budget qui, comme l’année dernière, s’organise en dotations et en programmes mais cette année budgétaire va être marquée par les premières évaluations de ce qui a été exécuté l’année dernière, avec la juridiction financière qu’est la cour des comptes», a-t-il ajouté.
Selon lui, l’atteinte des objectifs poursuivis à travers ce projet de budget requiert la mise en œuvre de mesures d’encadrements de son exécution ainsi que des réformes nécessaires pour améliorer le recouvrement des ressources et l’efficacité des dépenses
Le projet de budget pour l’année 2021 qui s’équilibre en ressources et en charges à 8621,1 milliards de francs CFA, en hausse de 6,9% par rapport à 2020 a été élaboré dans un contexte marqué par la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID-19 et par la préparation et la tenue de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Ce budget, deuxième budget-programmes, est structuré en 35 dotations et 149 programmes budgétés au sein des institutions et ministères. Il devrait permettre la reprise de la croissance de l’économie nationale avec un taux de 6,5% en 2021 contre 1,8% en 2020 avec la bonne tenue de la demande tirée par le dynamise des investissements (6,7%) et la consolidation de la consommation finale des ménages (5,4%).
Les ministres et secrétaires d’Etat se sont succédé devant les membres de la CAEF, du mardi 17 au vendredi 20 novembre 2020, pour défendre leurs crédits budgétaires prévus pour leurs différents programmes.
Saluant les débats approfondis et fructueux durant les quatre jours, Moussa Sanogo a certifié que le gouvernement tiendra compte des recommandations des élus du peuple pour une gestion inclusive des finances publiques.
Après l’Assemblée nationale, ce même exercice se fera dans les jours à venir devant le Sénat à Yamoussoukro.
bsp/fmo