Anyama - L’école primaire publique de M’brago 2, dans la sous-préfecture d’Anyama, manque d’enseignants et de tables-bancs, a révélé le président du comité de gestion des établissements scolaires (COGES) de ce village, Adou Kouassi Michel.
« Nous avons un déficit de trois enseignants. Ce déficit a été porté à la connaissance de notre hiérarchie dans l’espoir d’une suite favorable. Mais, pour le moment, nous avons jumelé les classes de cour primaire ( CP), de cour élémentaire ( CE) et de cour moyen ( CM) pour permettre à un enseignant de prendre deux classes à la fois dans une approche pédagogique peu recommandé », a confié M. Kouassi dans un entretien à l’AIP, samedi 28 novembre 2020.
« Au niveau du COGES, nous comptons mener des actions surtout avec l’aide de personnes de bonne volonté en vue de la réhabilitation de cette école dont les toitures sont restées très défaillantes ainsi que les tableaux devenus vieillissants », a relevé M. Adou.
Cette école primaire de six classes compte trois enseignants pour un effectif de 253 élèves dont 146 filles. Elle est également confrontée à un manque de tables-bancs obligeant les élèves de s’asseoir trois par tables, a-t-ajouté.
(AIP)
« Nous avons un déficit de trois enseignants. Ce déficit a été porté à la connaissance de notre hiérarchie dans l’espoir d’une suite favorable. Mais, pour le moment, nous avons jumelé les classes de cour primaire ( CP), de cour élémentaire ( CE) et de cour moyen ( CM) pour permettre à un enseignant de prendre deux classes à la fois dans une approche pédagogique peu recommandé », a confié M. Kouassi dans un entretien à l’AIP, samedi 28 novembre 2020.
« Au niveau du COGES, nous comptons mener des actions surtout avec l’aide de personnes de bonne volonté en vue de la réhabilitation de cette école dont les toitures sont restées très défaillantes ainsi que les tableaux devenus vieillissants », a relevé M. Adou.
Cette école primaire de six classes compte trois enseignants pour un effectif de 253 élèves dont 146 filles. Elle est également confrontée à un manque de tables-bancs obligeant les élèves de s’asseoir trois par tables, a-t-ajouté.
(AIP)