Dimbokro - Des enseignants des établissements secondaires publics de Dimbokro demandent plus de sécurité pour exercer leur métier dans un environnement de quiétude, dénonçant la dernière grève des élèves émaillée de violences.
Ces enseignants l’ont fait savoir lors d’une Assemblée générale de leurs syndicats à savoir le Syndicat des enseignants du secondaire de Côte-d'Ivoire( CESCI) et le Syndicat pour la revalorisation salariale (SYRES), jeudi 3 décembre 2020 à Dimbokro.
Du lundi 30 novembre au mardi 1er décembre 2020, des individus se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI) ont violemment perturbé les cours, délogeant les élèves à l'aide de cailloux et de coups de sifflets . Ils ont obligé les responsables des différents établissements scolaires secondaires aussi bien publics que privés de Dimbokro à fermer les portes.
Face à cette situation, les professeurs du lycée moderne et du collège moderne, sous la conduite du secrétaire général local du SYRES, Ouraga Franck, ont décidé de l’arrêt immédiat des cours dès le retentissement de quelque coup de sifflet que ce soit, la poursuite normale des progressions sans contrainte d'achèvement des programmes. “ Nous mettrons à exécution les deux résolutions si les autorités locales ne prennent pas de mesures idoines”, ont-ils menacé.
Ils se sont indignés de ce que des individus encagoulés, munis d'armes blanches sévissent dans le secondaire public et privé et que depuis près d'une semaine des élèves perturbent les cours avec comme alibi, les frais des comité de gestion des établissements scolaires (COGES ).
ik/tm
Ces enseignants l’ont fait savoir lors d’une Assemblée générale de leurs syndicats à savoir le Syndicat des enseignants du secondaire de Côte-d'Ivoire( CESCI) et le Syndicat pour la revalorisation salariale (SYRES), jeudi 3 décembre 2020 à Dimbokro.
Du lundi 30 novembre au mardi 1er décembre 2020, des individus se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI) ont violemment perturbé les cours, délogeant les élèves à l'aide de cailloux et de coups de sifflets . Ils ont obligé les responsables des différents établissements scolaires secondaires aussi bien publics que privés de Dimbokro à fermer les portes.
Face à cette situation, les professeurs du lycée moderne et du collège moderne, sous la conduite du secrétaire général local du SYRES, Ouraga Franck, ont décidé de l’arrêt immédiat des cours dès le retentissement de quelque coup de sifflet que ce soit, la poursuite normale des progressions sans contrainte d'achèvement des programmes. “ Nous mettrons à exécution les deux résolutions si les autorités locales ne prennent pas de mesures idoines”, ont-ils menacé.
Ils se sont indignés de ce que des individus encagoulés, munis d'armes blanches sévissent dans le secondaire public et privé et que depuis près d'une semaine des élèves perturbent les cours avec comme alibi, les frais des comité de gestion des établissements scolaires (COGES ).
ik/tm
