Sakassou- De nombreux parents d'élèves de Sakassou exigent que leur soient remboursés les montants déjà versés au Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne, avant la décision du président de la République, Alassane Ouattara, de suspendre les cotisations levées par ledit dans le écoles publiques du pays.
Depuis la reprise des cours après les congés de Noël et du nouvel an, lundi 4 janvier 2021, des parents d'élèves défilent au sein du lycée et se rendent à l'administration dans l'attente d'un éventuel remboursement. "Nous venons chercher notre argent, avec reçu de paiement à l'appui la où nous l'avons versé", a lancé l'un d'entre eux.
Approché, le trésorier du COGES, Sylla Bakary a affirmé qu'une très prochaine réunion avec le conseil régional du Gbêkê permettra de donner une suite à la préoccupation des parents. De source bien introduite auprès du bureau du COGES, une bonne partie du montant recueilli au premier trimestre de l'année scolaire a servi à honorer certaines dépenses au sein du lycée.
Entre autres, les salaires des enseignants vacataires dans les matières scientifiques, les salaires des gardiens du lycée, l'achat de matériel pour les éducateurs, la réfection de salles de classe. Toute chose qui présage une difficulté de remboursement aux parents d'élèves.
Dans cette ambiance, les mauvais payeurs des frais de COGES se réjouissent de la décision du gouvernement qu'ils accueillent avec beaucoup d'enthousiasme.
tni/fmo
Depuis la reprise des cours après les congés de Noël et du nouvel an, lundi 4 janvier 2021, des parents d'élèves défilent au sein du lycée et se rendent à l'administration dans l'attente d'un éventuel remboursement. "Nous venons chercher notre argent, avec reçu de paiement à l'appui la où nous l'avons versé", a lancé l'un d'entre eux.
Approché, le trésorier du COGES, Sylla Bakary a affirmé qu'une très prochaine réunion avec le conseil régional du Gbêkê permettra de donner une suite à la préoccupation des parents. De source bien introduite auprès du bureau du COGES, une bonne partie du montant recueilli au premier trimestre de l'année scolaire a servi à honorer certaines dépenses au sein du lycée.
Entre autres, les salaires des enseignants vacataires dans les matières scientifiques, les salaires des gardiens du lycée, l'achat de matériel pour les éducateurs, la réfection de salles de classe. Toute chose qui présage une difficulté de remboursement aux parents d'élèves.
Dans cette ambiance, les mauvais payeurs des frais de COGES se réjouissent de la décision du gouvernement qu'ils accueillent avec beaucoup d'enthousiasme.
tni/fmo