Tiébissou - Le sous-préfet de Tiébissou, Coulibaly Hamidou, a indiqué jeudi 7 janvier 2021, lors d'une tournée dans les établissements secondaires publics et privés de la ville, que les élèves perturbateurs des cours seront exclus des écoles de la région.
M. Coulibaly était le chef de la mission de sensibilisation composée de membres du bureau du comité civilo-militaire dirigé par Yao Hubert. La délégation a parcouru tous les établissements du secondaires, dans le cadre de la lutte contre les perturbations de l'école et les anticipations des congés récurrentes dans la ville.
Il a souligné que les autorités administratives et éducatives tiennent à extirper les "ennemis de l'école" du système éducatif. A ce titre, des élèves ont été déjà identifiés comme les meneurs des troubles dans les établissements. Cette tournée dans les écoles est la dernière phase de la sensibilisation qui laissera place à la répression, a-t-il précisé.
"Dorénavant quiconque sera pris dans une opération de déstabilisation de l'école sera directement déféré chez le procureur à Bouaké ou sera par le biais du ministre de l'éducation, exclu des écoles de notre région", a-t-il averti. Il a également indiqué que des élèves, fauteurs de troubles, pourraient être mis aux arrêts.
Mardi 4 janvier 2021, des individus se réclamant d'un établissement secondaire privé dont la fondatrice est décédée à la veille du nouvel an, ont fait arrêter les cours et exigé une semaine de deuils. Les cours ont repris dans cet établissement mercredi après l'intervention des autorités administrative et sécuritaire, fait-on savoir.
myk/tad/fmo
M. Coulibaly était le chef de la mission de sensibilisation composée de membres du bureau du comité civilo-militaire dirigé par Yao Hubert. La délégation a parcouru tous les établissements du secondaires, dans le cadre de la lutte contre les perturbations de l'école et les anticipations des congés récurrentes dans la ville.
Il a souligné que les autorités administratives et éducatives tiennent à extirper les "ennemis de l'école" du système éducatif. A ce titre, des élèves ont été déjà identifiés comme les meneurs des troubles dans les établissements. Cette tournée dans les écoles est la dernière phase de la sensibilisation qui laissera place à la répression, a-t-il précisé.
"Dorénavant quiconque sera pris dans une opération de déstabilisation de l'école sera directement déféré chez le procureur à Bouaké ou sera par le biais du ministre de l'éducation, exclu des écoles de notre région", a-t-il averti. Il a également indiqué que des élèves, fauteurs de troubles, pourraient être mis aux arrêts.
Mardi 4 janvier 2021, des individus se réclamant d'un établissement secondaire privé dont la fondatrice est décédée à la veille du nouvel an, ont fait arrêter les cours et exigé une semaine de deuils. Les cours ont repris dans cet établissement mercredi après l'intervention des autorités administrative et sécuritaire, fait-on savoir.
myk/tad/fmo
