Le vendredi 15 janvier 2021, s’est tenu au Plateau un atelier de présentation du Plan Stratégique d’Insertion Professionnelle des Jeunes 2021-2025 (Composante 1). Cet atelier fait suite à un autre qui a eu lieu les 22 et 23 décembre 2020, au cours duquel des structures publiques et privées, concernées par la question de l’emploi, ont porté leur regard sur le document en vue de l’enrichir. L’objectif ultime étant de finaliser le Plan Stratégique de Développement (PSD) 2021-2025, qui servira de boussole à l’Agence Emploi Jeunes pour les questions d’insertion des jeunes durant les 5 prochaines années.
L’atelier qui s’est tenu le vendredi 15 janvier visait à recueillir les avis, observations et recommandations des partenaires techniques et financiers sur le même Plan Stratégique d’Insertion Professionnelle des Jeunes 2021-2025 (Composante 1). La rencontre a réuni 11 partenaires au développement, au nombre desquels l’Union Européenne (UE), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Agence Française de Développement (AFD), le Bureau International du Travail (BIT), l’Organisation Internationale de la Migration (OIM).
A l’issue de l’atelier, les partenaires financiers et techniques ont fait plusieurs recommandations en vue d’aider le Gouvernement à relever le défi d’offrir des opportunités d’insertion à 2 millions de jeunes d’ici à 2025. L’UNICEF a proposé que l’accent soit mis sur les offres à destination des personnes vulnérables et des adolescents de 15 à 17 ans. Dans la même veine, l’UE a plaidé pour que la communication sur les programmes de l’Agence Emploi Jeunes soit davantage tournée vers la jeunesse rurale et que ces programmes soient étendus à ces jeunes ruraux.
L’OIM a quant à elle proposé de rendre disponibles auprès des ambassades et consulats les informations sur les opportunités offertes aux migrants. Il a été également proposé une plus forte implication du secteur privé dans l’atteinte des objectifs d’insertion professionnelle ainsi que l’exploration de dispositifs mettant en avant l’entreprenariat social et le bénévolat. La BAD a, pour sa part, recommandé de renforcer le dispositif suivi-évaluation des programmes.
Se prononçant sur ces recommandations à la cérémonie de clôture, le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, Mamadou TOURE, a salué leur pertinence et souhaité qu’elles fassent l’objet d’un chronogramme de mise en œuvre. Il a indiqué que ces contributions des partenaires techniques et financiers vont contribuer à la finalisation du PSD 2021-2025, lequel sera soumis en conseil des ministres pour adoption.
L’atelier qui s’est tenu le vendredi 15 janvier visait à recueillir les avis, observations et recommandations des partenaires techniques et financiers sur le même Plan Stratégique d’Insertion Professionnelle des Jeunes 2021-2025 (Composante 1). La rencontre a réuni 11 partenaires au développement, au nombre desquels l’Union Européenne (UE), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Agence Française de Développement (AFD), le Bureau International du Travail (BIT), l’Organisation Internationale de la Migration (OIM).
A l’issue de l’atelier, les partenaires financiers et techniques ont fait plusieurs recommandations en vue d’aider le Gouvernement à relever le défi d’offrir des opportunités d’insertion à 2 millions de jeunes d’ici à 2025. L’UNICEF a proposé que l’accent soit mis sur les offres à destination des personnes vulnérables et des adolescents de 15 à 17 ans. Dans la même veine, l’UE a plaidé pour que la communication sur les programmes de l’Agence Emploi Jeunes soit davantage tournée vers la jeunesse rurale et que ces programmes soient étendus à ces jeunes ruraux.
L’OIM a quant à elle proposé de rendre disponibles auprès des ambassades et consulats les informations sur les opportunités offertes aux migrants. Il a été également proposé une plus forte implication du secteur privé dans l’atteinte des objectifs d’insertion professionnelle ainsi que l’exploration de dispositifs mettant en avant l’entreprenariat social et le bénévolat. La BAD a, pour sa part, recommandé de renforcer le dispositif suivi-évaluation des programmes.
Se prononçant sur ces recommandations à la cérémonie de clôture, le Ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, Mamadou TOURE, a salué leur pertinence et souhaité qu’elles fassent l’objet d’un chronogramme de mise en œuvre. Il a indiqué que ces contributions des partenaires techniques et financiers vont contribuer à la finalisation du PSD 2021-2025, lequel sera soumis en conseil des ministres pour adoption.