Songon - Le porte parole de l’Entente syndicale du secteur Education-formation (ESEF), Arnaud Boka, a appelé les autorités, les élus, les parents d’élèves et la communauté éducative dans son ensemble à s’impliquer dans la résolution des problèmes qui touchent l’école, à l’occasion d’une conférence de presse animée, samedi 30 janvier 2021, dans la commune de Yopougon à Abidjan.
Cette participation pour la communauté éducative consiste à œuvrer à l’instauration d’un climat de tranquillité, pour le bon déroulement des enseignements, les gouvernants ne devant pas attendre la grève avant de se pencher sur les problèmes de l’école.
Selon M. Boka, l’ESEF estime être restée sur sa faim quant aux réponses du gouvernement à plusieurs revendications de sa corporation. « En avril 2019 s’est tenu à Grand-Bassam, un dialogue social entre les différents acteurs de l’école et le gouvernement. Ce dialogue a fait l’objet de conclusions dont les aspects finaux incombaient au gouvernement. Après deux années de patience, les résultats de ce dialogue sont encore coincés dans les tiroirs », a-t-il déploré.
Les principales revendications de l’ESEF tiennent en six points, notamment la revalorisation des indemnités de logement, le relèvement des primes d’examen, le règlement des questions de premier mandatement, les effectifs pléthoriques, le problème des instituteurs adjoints auxquels s’ajoute l’annulation de la contribution nationale.
« Si les maîtres sont mal traités, que l’on ne s’étonne pas que l’école aille mal », a conclu Arnaud Boka.
tg/gak/fmo
Cette participation pour la communauté éducative consiste à œuvrer à l’instauration d’un climat de tranquillité, pour le bon déroulement des enseignements, les gouvernants ne devant pas attendre la grève avant de se pencher sur les problèmes de l’école.
Selon M. Boka, l’ESEF estime être restée sur sa faim quant aux réponses du gouvernement à plusieurs revendications de sa corporation. « En avril 2019 s’est tenu à Grand-Bassam, un dialogue social entre les différents acteurs de l’école et le gouvernement. Ce dialogue a fait l’objet de conclusions dont les aspects finaux incombaient au gouvernement. Après deux années de patience, les résultats de ce dialogue sont encore coincés dans les tiroirs », a-t-il déploré.
Les principales revendications de l’ESEF tiennent en six points, notamment la revalorisation des indemnités de logement, le relèvement des primes d’examen, le règlement des questions de premier mandatement, les effectifs pléthoriques, le problème des instituteurs adjoints auxquels s’ajoute l’annulation de la contribution nationale.
« Si les maîtres sont mal traités, que l’on ne s’étonne pas que l’école aille mal », a conclu Arnaud Boka.
tg/gak/fmo