Gbéléban - Le responsable de la Banque islamique de développement, Mannet Mamadou, a rencontré, vendredi 5 février 2021, toutes les associations et coopératives de la Commune de Gbéléban afin de leur expliquer le fonds de 11 milliards de francs CFA mis à la disposition des populations pour les faire sortir de la pauvreté.
La disponibilité de ce montant s'inscrit dans la mise en œuvre d'un projet pilote à l'endroit de toutes les chaînes de valeur agricole. Le financement sera disponible à partir du mois de mars 2021. Le véritable critère pour recevoir le financement du projet est basé sur la confiance mutuelle entre le promoteur et les adhérents.
Ainsi, la somme de 50 000 francs CFA est-elle prévue pour le secteur informel (petit commerce), 5 millions de francs CFA pour les associations et personnes ayant suivi une formation agricole et enfin 12,5 millions de francs CFA aux coopératives.
Selon M. Mannet, le délai de remboursement incombe à la banque et le mode de paiement du crédit appartient au bénéficiaire, indiquant que pendant l'exécution du projet, les bénéfices et les pertes seront partagés. En cas de sinistres éventuels, aucun dommage n'est mis à l'actif de l'exécutant.
Les activités comme le commerce et l'élevage de porcs, de l'alcool et d'armement sont interdites de financement dans le cadre dudit projet, a prévenu M. Mannet
(AIP)
gs/fmo
La disponibilité de ce montant s'inscrit dans la mise en œuvre d'un projet pilote à l'endroit de toutes les chaînes de valeur agricole. Le financement sera disponible à partir du mois de mars 2021. Le véritable critère pour recevoir le financement du projet est basé sur la confiance mutuelle entre le promoteur et les adhérents.
Ainsi, la somme de 50 000 francs CFA est-elle prévue pour le secteur informel (petit commerce), 5 millions de francs CFA pour les associations et personnes ayant suivi une formation agricole et enfin 12,5 millions de francs CFA aux coopératives.
Selon M. Mannet, le délai de remboursement incombe à la banque et le mode de paiement du crédit appartient au bénéficiaire, indiquant que pendant l'exécution du projet, les bénéfices et les pertes seront partagés. En cas de sinistres éventuels, aucun dommage n'est mis à l'actif de l'exécutant.
Les activités comme le commerce et l'élevage de porcs, de l'alcool et d'armement sont interdites de financement dans le cadre dudit projet, a prévenu M. Mannet
(AIP)
gs/fmo