Jacqueville - Le "nouveau" Bureau ivoirien du droit d’auteur (BURIDA) ne sera plus un "BURIDA de l’indiscipline", a martelé son président du conseil d’administration, Tiburce Koffi, samedi 6 février 2021, à Jacqueville, lors de la cérémonie de clôture du séminaire de restitution et de validation des travaux pour la restructuration de la structure.
« Je vous rassure que ce ne sera plus un BURIDA de l’indiscipline. (…) Tout artiste qui va se comporter comme un manant sera viré », a fait savoir M. Koffi, indiquant qu’être artiste doit être une référence de qualité pour l’individu.
Le président du conseil d’administration a promis de sortir au terme de la restructuration, un BURIDA nouveau, responsable, géré comme il faut, dans la plus grande transparence. "Vous savez, les trous financiers sortis des caisses du BURIDA sont énormes. Sous Tiburce Koffi, il n’y aura pas ça. Je suis venu pour faire du propre (…) et je mettrai de l’ordre avant de partir", a-t-il insisté.
Il a expliqué que son équipe est en train de tout numériser pour que les artistes suivent eux-mêmes le parcours de leur argent parce que toutes les crises au sein de la structure tiennent foncièrement au problème de perception et de répartition des fonds.
Pour juguler cette équation de mal gouvernance, Tiburce Koffi entend doter désormais le BURIDA d’outils informatiques performants.
Réunis à Jacqueville les 4, 5, 6 et 7 février 2021 pour réfléchir sur les rapports des commissions présentés au conseil de gestion, la soixantaine d’artistes présente au séminaire a approuvé à l’unanimité le rapport de synthèse de la validation des travaux pour la restructuration du BURIDA.
ar/ebd/fmo/cmas
« Je vous rassure que ce ne sera plus un BURIDA de l’indiscipline. (…) Tout artiste qui va se comporter comme un manant sera viré », a fait savoir M. Koffi, indiquant qu’être artiste doit être une référence de qualité pour l’individu.
Le président du conseil d’administration a promis de sortir au terme de la restructuration, un BURIDA nouveau, responsable, géré comme il faut, dans la plus grande transparence. "Vous savez, les trous financiers sortis des caisses du BURIDA sont énormes. Sous Tiburce Koffi, il n’y aura pas ça. Je suis venu pour faire du propre (…) et je mettrai de l’ordre avant de partir", a-t-il insisté.
Il a expliqué que son équipe est en train de tout numériser pour que les artistes suivent eux-mêmes le parcours de leur argent parce que toutes les crises au sein de la structure tiennent foncièrement au problème de perception et de répartition des fonds.
Pour juguler cette équation de mal gouvernance, Tiburce Koffi entend doter désormais le BURIDA d’outils informatiques performants.
Réunis à Jacqueville les 4, 5, 6 et 7 février 2021 pour réfléchir sur les rapports des commissions présentés au conseil de gestion, la soixantaine d’artistes présente au séminaire a approuvé à l’unanimité le rapport de synthèse de la validation des travaux pour la restructuration du BURIDA.
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