Bondoukou- L’ONG Alliance Côte d’Ivoire plaide auprès des autorités sanitaires et administratives de la région du Gontougo pour la mise en œuvre du nouveau modèle de financement de la lutte contre la Tuberculose et le VIH/Sida dénommé NMF3 TB/VIH acquis par la Côte d’Ivoire sur la période 2021-2023.
Lors d’une séance d’information et de sensibilisation, lundi 08 février 2021 à Bondoukou (Nord-est), le responsable des programmes à l’ONG, Sansan Édouard a indiqué que ce financement du Fonds mondial concerne également les droits humains, les mutilations génitales féminines (MGF) ainsi que les violences basées sur le genre (VBG).
Pour M. Sansan, plusieurs stratégies ont été mises en place pour réduire le taux de malades atteints de la tuberculose et du VIH/Sida et lutter efficacement contre les MGF et les VBG. Il s’agit notamment de la prise en compte des personnes selon des catégories bien définies à savoir des hommes de plus de 25 ans, des adolescents et la population carcérale.
Le plan d’action de l’ONG implique aussi des interventions avec les tradipraticiens, les homosexuels, les transgenres, les travailleurs du sexe, des patients tuberculeux ainsi que des activités à l’endroit des matronnes et des exciseuses, a-t-il ajouté.
L’objectif du projet est de permettre aux jeunes de fréquenter régulièrement les services de santé scolaires et universitaires (SSSU), d’entrevoir la fin des règlements à l’amiable des VBG par la mobilisation des leaders communautaires et autorités administratives et surtout permettre à la femme de prendre des décisions liées à sa santé sans être tributaires des actions des hommes.
Créée en 2005, l’ONG Alliance Côte d’Ivoire apporte une contribution significative à la prévention, aux soins et soutiens aux personnes infectées par le VIH/Sida, les autres pandémies, à la lutte contre la pauvreté et à la promotion des droits humains.
zaar/ask
Lors d’une séance d’information et de sensibilisation, lundi 08 février 2021 à Bondoukou (Nord-est), le responsable des programmes à l’ONG, Sansan Édouard a indiqué que ce financement du Fonds mondial concerne également les droits humains, les mutilations génitales féminines (MGF) ainsi que les violences basées sur le genre (VBG).
Pour M. Sansan, plusieurs stratégies ont été mises en place pour réduire le taux de malades atteints de la tuberculose et du VIH/Sida et lutter efficacement contre les MGF et les VBG. Il s’agit notamment de la prise en compte des personnes selon des catégories bien définies à savoir des hommes de plus de 25 ans, des adolescents et la population carcérale.
Le plan d’action de l’ONG implique aussi des interventions avec les tradipraticiens, les homosexuels, les transgenres, les travailleurs du sexe, des patients tuberculeux ainsi que des activités à l’endroit des matronnes et des exciseuses, a-t-il ajouté.
L’objectif du projet est de permettre aux jeunes de fréquenter régulièrement les services de santé scolaires et universitaires (SSSU), d’entrevoir la fin des règlements à l’amiable des VBG par la mobilisation des leaders communautaires et autorités administratives et surtout permettre à la femme de prendre des décisions liées à sa santé sans être tributaires des actions des hommes.
Créée en 2005, l’ONG Alliance Côte d’Ivoire apporte une contribution significative à la prévention, aux soins et soutiens aux personnes infectées par le VIH/Sida, les autres pandémies, à la lutte contre la pauvreté et à la promotion des droits humains.
zaar/ask