Abidjan- Le ministère ivoirien de la Culture vient de se doter d’un Office national du cinéma de Côte d’Ivoire (ONAC-CI), un nouvel instrument de soutien aux réalisateurs, de formation de professionnels à l’écriture scénaristique et de formation de jeunes réalisateurs.
Selon son directeur, Pierre Douhou, l’ONAC-CI contribuera à la finalisation de la de la création, en cours, d’une « Cité du cinéma » à Jacqueville, à l’appui à la création cinématographique par le Fonds de soutien à l’industrie cinématographique et à faire de la Côte d’Ivoire « une terre de tournage » par le recensement préalable de tous les sites potentiels de tournage.
L’ONAD-CI envisage porter le projet « Ivoire-ciné Roman » pour la promotion des œuvres littéraires par leur adaptation au cinéma, renforcer la coopération cinématographique avec certains pays, réhabiliter les salles à l’intérieur du pays, créer un musée et une cinémathèque pour la relance du 7ème art ivoirien.
Le ministère de la Culture et de la Francophonie va soutenir l’activité cinématographique avec l’acquisition de matériels de tournage de dernière génération, affirme Pierre Dohou.
« Nous devons nous doter de stratégies managériales pour réaliser notre vision. Aussi, est-il nécessaire de créer un véritable marché local du cinéma qui permette aux cinéastes de vivre de leur art. La vie d’un cinéaste doit faire rêver, alors créons les conditions de ce rêve », a souligné le directeur de la nouvelle instance de relance du cinéma ivoirien.
Le cinéma ivoirien a brillé par le passé avec des prix dont l’Etalon d’Or du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) remporté par Laciné Fadika avec Djeli en 1981 et Gnoan M’Balla avec Au nom du Christ en 1993. Ma famille et Ma grande famille de la réalisatrice Akissi Delta sont un succès sur les chaines de télévision.
Toutefois, le cinéma ivoirien souffre d’une lente et longue agonie avec la fermeture des salles de projection, transformées en églises, le manque de financement des projets de production, d’étroitesse du marché de distribution et de vente ou encore de concurrence déloyale avec les clés USB, CD, cartes mémoires.
aaa/ask
Selon son directeur, Pierre Douhou, l’ONAC-CI contribuera à la finalisation de la de la création, en cours, d’une « Cité du cinéma » à Jacqueville, à l’appui à la création cinématographique par le Fonds de soutien à l’industrie cinématographique et à faire de la Côte d’Ivoire « une terre de tournage » par le recensement préalable de tous les sites potentiels de tournage.
L’ONAD-CI envisage porter le projet « Ivoire-ciné Roman » pour la promotion des œuvres littéraires par leur adaptation au cinéma, renforcer la coopération cinématographique avec certains pays, réhabiliter les salles à l’intérieur du pays, créer un musée et une cinémathèque pour la relance du 7ème art ivoirien.
Le ministère de la Culture et de la Francophonie va soutenir l’activité cinématographique avec l’acquisition de matériels de tournage de dernière génération, affirme Pierre Dohou.
« Nous devons nous doter de stratégies managériales pour réaliser notre vision. Aussi, est-il nécessaire de créer un véritable marché local du cinéma qui permette aux cinéastes de vivre de leur art. La vie d’un cinéaste doit faire rêver, alors créons les conditions de ce rêve », a souligné le directeur de la nouvelle instance de relance du cinéma ivoirien.
Le cinéma ivoirien a brillé par le passé avec des prix dont l’Etalon d’Or du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) remporté par Laciné Fadika avec Djeli en 1981 et Gnoan M’Balla avec Au nom du Christ en 1993. Ma famille et Ma grande famille de la réalisatrice Akissi Delta sont un succès sur les chaines de télévision.
Toutefois, le cinéma ivoirien souffre d’une lente et longue agonie avec la fermeture des salles de projection, transformées en églises, le manque de financement des projets de production, d’étroitesse du marché de distribution et de vente ou encore de concurrence déloyale avec les clés USB, CD, cartes mémoires.
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