Babacar Carlos M’Baye, Représentant Résident de la CEDEAO en Côte d’Ivoire a présenté les opportunités qu’offre la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest à la jeunesse de la sous-région, le 10 février 2021, au cours d’une conférence publique sur le thème, « La CEDEAO : Vision en engagement pour la jeunesse estudiantine », prononcée à l’Institut de Formation Sainte Marie, sis à Yopougon dans le district d’Abidjan.
Devant environ deux cents étudiants, le diplomate a rappelé les buts fixés à l’organisation régionale lors de sa création, le 28 Mai 1975, à Lagos au Nigéria : « promouvoir la coopération et l’intégration dans la perspective d’une Union économique de l’Afrique de l’Ouest en vue d’élever le niveau de vie des peuples, maintenir et accroitre la stabilité économique, renforcer les relations entre les Etats-Membres et contribuer au progrès et au développement du continent Africain ».
Il convient de préciser que la CEDEAO fonctionne comme une organisation de coopération. En clair, son fonctionnement dépend du bon vouloir de ses membres. Elle ne peut donc rien leur imposer.
En 46 ans d’existence, l’institution régionale dont la population est estimée à environ 400 millions d’habitants a engrangé de précieux acquis. Il s’agit notamment de l’adoption d’un protocole sur la libre circulation des personnes et des biens, le droit de résidence et d’établissement, l’adoption de la carte brune (système d’assurance automobile communautaire), l’interconnexion des réseaux électriques de certains pays, la promotion des centres d’excellence en matière d’enseignement et de recherche, le lancement des bourses Nnandi Azikiwé en vue d’assurer la mobilité académique dans la région, l’assistance et l’observation électorale…
Autre motif de fierté, la mise en place d’un mécanisme de financement de son fonctionnement et d’une partie de ses projets et programmes. Ce qui assure à la CEDEAO son autonomie.
Au regard de ces acquis, Babacar Carlos M’Baye a estimé que l’avenir de la communauté est bien balisé. Il a donc exhorté son auditoire à se préparer pour assurer la relève en se rapprochant de la Représentation Résidente et des structures d’intégration régionale.
Organisée en partenariat avec le Club CEDEAO des Lycées et Collèges de la commune de Yopougon, cette conférence publique entre dans le cadre des activités de visibilité de l’institution.
Selon Ignace Koffi, président du Club CEDEAO, l’initiative à fort impact pédagogique, vise à faciliter le passage d’une CEDEAO des Etats à une CEDEAO des peuples par la vulgarisation de l’institution, son fonctionnement, ses peuples et ses valeurs socioculturelles en milieu scolaire à travers des activités extra-scolaires. Dans cette veine, il a annoncé le lancement en mars prochain d’un concours des clubs CEDEAO.
Sercom
Devant environ deux cents étudiants, le diplomate a rappelé les buts fixés à l’organisation régionale lors de sa création, le 28 Mai 1975, à Lagos au Nigéria : « promouvoir la coopération et l’intégration dans la perspective d’une Union économique de l’Afrique de l’Ouest en vue d’élever le niveau de vie des peuples, maintenir et accroitre la stabilité économique, renforcer les relations entre les Etats-Membres et contribuer au progrès et au développement du continent Africain ».
Il convient de préciser que la CEDEAO fonctionne comme une organisation de coopération. En clair, son fonctionnement dépend du bon vouloir de ses membres. Elle ne peut donc rien leur imposer.
En 46 ans d’existence, l’institution régionale dont la population est estimée à environ 400 millions d’habitants a engrangé de précieux acquis. Il s’agit notamment de l’adoption d’un protocole sur la libre circulation des personnes et des biens, le droit de résidence et d’établissement, l’adoption de la carte brune (système d’assurance automobile communautaire), l’interconnexion des réseaux électriques de certains pays, la promotion des centres d’excellence en matière d’enseignement et de recherche, le lancement des bourses Nnandi Azikiwé en vue d’assurer la mobilité académique dans la région, l’assistance et l’observation électorale…
Autre motif de fierté, la mise en place d’un mécanisme de financement de son fonctionnement et d’une partie de ses projets et programmes. Ce qui assure à la CEDEAO son autonomie.
Au regard de ces acquis, Babacar Carlos M’Baye a estimé que l’avenir de la communauté est bien balisé. Il a donc exhorté son auditoire à se préparer pour assurer la relève en se rapprochant de la Représentation Résidente et des structures d’intégration régionale.
Organisée en partenariat avec le Club CEDEAO des Lycées et Collèges de la commune de Yopougon, cette conférence publique entre dans le cadre des activités de visibilité de l’institution.
Selon Ignace Koffi, président du Club CEDEAO, l’initiative à fort impact pédagogique, vise à faciliter le passage d’une CEDEAO des Etats à une CEDEAO des peuples par la vulgarisation de l’institution, son fonctionnement, ses peuples et ses valeurs socioculturelles en milieu scolaire à travers des activités extra-scolaires. Dans cette veine, il a annoncé le lancement en mars prochain d’un concours des clubs CEDEAO.
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