Toumodi- Les proviseurs des lycées publics de Toumodi, inquiets de l’ampleur que prennent les bagarres entre des groupes d’élèves aux abords des établissements, sollicitent l’implication des parents pour l’éradication de ce phénomène.
Les proviseurs Chantal Ogouba et Aussoumane Yéo respectivement des lycées Camille Alliali et lycée moderne de Toumodi, lors d’une réunion tenue, jeudi 11 février 2021, dans leur établissement respectif, ont tiré la sonnette d’alarme.
« Tous les vendredi soirs, les groupes d’élèves avec des armes blanches s’affrontent aux abords de nos établissements. Nous voulons vous mettre en mission afin que l’environnement scolaire soit assaini de façon durable », a expliqué le proviseur du Lycée Camille Alliali, Mme Chantal Ogouba, aux parents d’élèves.
Le lycée moderne n’est pas épargné par ce triste phénomène, selon son proviseur Aussoumane Yéo, relatant que "ces bagarres opposent les élèves de nos établissements et ceux d’autres établissements qui se font aider par des personnes civiles telles que les mécaniciens. La police s’est interposée vendredi et chaque gang a pris la fuite. Nous craignons qu’il n’y ait mort d’homme un jour au vu des couteaux, bois, chaînes métalliques qu’ils ont en leur possession".
Ce phénomène, né depuis deux ans, gagne en intensité, et inquiète également les parents qui ont promis de sensibiliser leurs enfants, afin d’y mettre fin.
gba/kkf/ask
Les proviseurs Chantal Ogouba et Aussoumane Yéo respectivement des lycées Camille Alliali et lycée moderne de Toumodi, lors d’une réunion tenue, jeudi 11 février 2021, dans leur établissement respectif, ont tiré la sonnette d’alarme.
« Tous les vendredi soirs, les groupes d’élèves avec des armes blanches s’affrontent aux abords de nos établissements. Nous voulons vous mettre en mission afin que l’environnement scolaire soit assaini de façon durable », a expliqué le proviseur du Lycée Camille Alliali, Mme Chantal Ogouba, aux parents d’élèves.
Le lycée moderne n’est pas épargné par ce triste phénomène, selon son proviseur Aussoumane Yéo, relatant que "ces bagarres opposent les élèves de nos établissements et ceux d’autres établissements qui se font aider par des personnes civiles telles que les mécaniciens. La police s’est interposée vendredi et chaque gang a pris la fuite. Nous craignons qu’il n’y ait mort d’homme un jour au vu des couteaux, bois, chaînes métalliques qu’ils ont en leur possession".
Ce phénomène, né depuis deux ans, gagne en intensité, et inquiète également les parents qui ont promis de sensibiliser leurs enfants, afin d’y mettre fin.
gba/kkf/ask
