Abidjan -L’Ivoirien Jacques Anoma, candidat à la présidence de la Confédération Africaine de Football (CAF), a dévoilé dans les moindres détails, le contenu son programme dénommé "Servir le football africain", devant un parterre de journalistes de la presse nationale et internationale, vendredi 19 février 2021 à Abidjan, lors d’une conférence de presse à l’auditorium de ministère ivoirien des Affaires Etrangères.
Un programme qu’il a décliné en quatre axes à savoir, la gouvernance et la gestion de la CAF; le renforcement des capacités financières, managériales des associations nationales et unions zonales. Egalement la promotion, la commercialisation et les ressources nouvelles mais aussi la place du jeu.
Selon l’ambassadeur, il va s’agir entre autres de mettre en place de bonnes pratiques pour atteindre les objectifs de bonne gestion, renforcer les capacités des associations nationales en identifiant leurs besoins pour y apporter solutions mais également, mettre en place une politique qui permettra de rétablir les équilibres financiers et trouver de nouvelles ressources pour financer le développement du football africain, en mettant surtout l’accent sur le développement des droits digitaux.
Il entend également s’intéresser au jeu proprement dit en valorisant les compétences du corps arbitral et des techniciens, mener une réflexion approfondie sur le nombre et le rythme des compétitions, mettre en œuvre les compétitions de jeunes et des filles, puis améliorer la détection des talents.
En somme, "Servir le football africain" se veut un programme « aux perspectives de progrès claire, une vision qui consiste à impulser un ensemble de réformes nécessaires à la restructuration de l’organisation continentale, à valoriser la pratique du jeu et à améliorer sa gestion ainsi que ses résultats », a précisé M. Anoma.
ebd/tm
Un programme qu’il a décliné en quatre axes à savoir, la gouvernance et la gestion de la CAF; le renforcement des capacités financières, managériales des associations nationales et unions zonales. Egalement la promotion, la commercialisation et les ressources nouvelles mais aussi la place du jeu.
Selon l’ambassadeur, il va s’agir entre autres de mettre en place de bonnes pratiques pour atteindre les objectifs de bonne gestion, renforcer les capacités des associations nationales en identifiant leurs besoins pour y apporter solutions mais également, mettre en place une politique qui permettra de rétablir les équilibres financiers et trouver de nouvelles ressources pour financer le développement du football africain, en mettant surtout l’accent sur le développement des droits digitaux.
Il entend également s’intéresser au jeu proprement dit en valorisant les compétences du corps arbitral et des techniciens, mener une réflexion approfondie sur le nombre et le rythme des compétitions, mettre en œuvre les compétitions de jeunes et des filles, puis améliorer la détection des talents.
En somme, "Servir le football africain" se veut un programme « aux perspectives de progrès claire, une vision qui consiste à impulser un ensemble de réformes nécessaires à la restructuration de l’organisation continentale, à valoriser la pratique du jeu et à améliorer sa gestion ainsi que ses résultats », a précisé M. Anoma.
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