L’Ivoirien Jacques Anouma, a annoncé vendredi, avoir décidé de renoncer à sa candidature pour l’élection à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), sur la RTI 1, la télévision publique ivoirienne.
"Après mûre réflexion, concertations et consultations, inspiré par les valeurs d’entente, d’union que la Côte d’Ivoire a toujours promues (...) j’ai décidé de renoncer à ma candidature", a déclaré M. Jacques Anouma au journal télévisé de 20h.
Il a expliqué être "convaincu qu’il est aujourd’hui préférable de créer les conditions d’un rassemblement des meilleures intelligences afin de faire triompher l’intérêt collectif du football africain".
Bien qu’ayant réussi à faire adhérer nombre de personnes à sa candidature, Anouma estime qu’"en réalisant cette union sacrée des meilleures volontés africaines autour de la CAF avec un programme commun (les candidats) pourront contribuer ensemble à son redressement".
"Je le ferai avec l’expérience qui est mienne, toujours soucieux des intérêts de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique. C’est ainsi que je mettrai mon expérience unique du football continental et mondial au service de la nécessaire reconstruction du football africain et de l’organisation prochaine de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire", a-t-il ajouté.
Il a en outre adressé ses sincères remerciements à toutes les files et fils du continent africain qui lui ont exprimé "sympathie et attention durant ce parcours exaltant".
L’ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a aussi exprimé sa gratitude à Alassane Ouattara ainsi qu’au Premier ministre Hamed Bakayoko ainsi qu’ à l’ensemble du gouvernement.
Pour accompagner sa candidature, un Comité des sages avait été mis en place, avec une équipe de campagne. En dépit de ce revirement, il dit croire "en une Afrique du football uni, forte et respectée".
"Demain, je ferais tout pour remporter aux côtés de la prochaine équipe dirigeante issue des accords, la victoire cruciale de la renaissance de la Confédération africaine de football", a t-il poursuivi.
Une rencontre des candidats est prévue samedi à Nouachott, en Mauritanie, en vue d’accorder leur violon sur un "programme commun" dont les réflexions ont débuté la semaine derrière ensemble à Rabat.
Au Maroc, ils ont "paraphé un accord de principe sur la manière de diriger la CAF avec à la base un programme commun à tous les candidats" et ce programme devrait être débattu pour "finalement arriver à un accord définitif".
"Tous les candidats seront présents avec des fédérations sœurs pour parachever le début des accords de rabat qui deviendra un accord qui sera porté par l’ensemble des associations nationales", a-t-il fait savoir.
AP/ls/APA
"Après mûre réflexion, concertations et consultations, inspiré par les valeurs d’entente, d’union que la Côte d’Ivoire a toujours promues (...) j’ai décidé de renoncer à ma candidature", a déclaré M. Jacques Anouma au journal télévisé de 20h.
Il a expliqué être "convaincu qu’il est aujourd’hui préférable de créer les conditions d’un rassemblement des meilleures intelligences afin de faire triompher l’intérêt collectif du football africain".
Bien qu’ayant réussi à faire adhérer nombre de personnes à sa candidature, Anouma estime qu’"en réalisant cette union sacrée des meilleures volontés africaines autour de la CAF avec un programme commun (les candidats) pourront contribuer ensemble à son redressement".
"Je le ferai avec l’expérience qui est mienne, toujours soucieux des intérêts de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique. C’est ainsi que je mettrai mon expérience unique du football continental et mondial au service de la nécessaire reconstruction du football africain et de l’organisation prochaine de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire", a-t-il ajouté.
Il a en outre adressé ses sincères remerciements à toutes les files et fils du continent africain qui lui ont exprimé "sympathie et attention durant ce parcours exaltant".
L’ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a aussi exprimé sa gratitude à Alassane Ouattara ainsi qu’au Premier ministre Hamed Bakayoko ainsi qu’ à l’ensemble du gouvernement.
Pour accompagner sa candidature, un Comité des sages avait été mis en place, avec une équipe de campagne. En dépit de ce revirement, il dit croire "en une Afrique du football uni, forte et respectée".
"Demain, je ferais tout pour remporter aux côtés de la prochaine équipe dirigeante issue des accords, la victoire cruciale de la renaissance de la Confédération africaine de football", a t-il poursuivi.
Une rencontre des candidats est prévue samedi à Nouachott, en Mauritanie, en vue d’accorder leur violon sur un "programme commun" dont les réflexions ont débuté la semaine derrière ensemble à Rabat.
Au Maroc, ils ont "paraphé un accord de principe sur la manière de diriger la CAF avec à la base un programme commun à tous les candidats" et ce programme devrait être débattu pour "finalement arriver à un accord définitif".
"Tous les candidats seront présents avec des fédérations sœurs pour parachever le début des accords de rabat qui deviendra un accord qui sera porté par l’ensemble des associations nationales", a-t-il fait savoir.
AP/ls/APA