En quelques années, Kerozen a obtenu la reconnaissance de tous, aussi bien en Côte d'Ivoire qu'ailleurs. Ses prochains défis, il les expose dans cette interview.
Comment va Kerozen ?
Kerozen va bien, Dieu par sa grâce.
Ton dernier single "L'élu" cumule plus d'un million de vues sur YouTube. Avant lui, tu as sorti "Abidjan puissance" qui a été vu plus de 6 millions de fois. Peut-on dire que tu as désormais la recette pour faire des tubes ?
(Rires) Sans prétention aucune, Kerozen a toujours fait des tubes, de "Mon heure a sonné" jusqu’à "L’élu". C’est le travail et la grâce divine.
C'est quoi l'histoire de "L'élu" ? Pourquoi tu te considères comme un élu ?
"L’élu", j’ai été inspiré par une prédication du pasteur Mohamed Sanogo. C’est très enrichissant ! Je profite de l’occasion pour lui dire merci. Vouloir c’est pouvoir, nous sommes tous des élus. C’est pourquoi j’ai invité mes collègues pour le clip.
Justement, concernant "L'élu". Tu as réalisé 2 clips et un mini film. À quoi cela répond ?
(Rires) Oui ! Deux clips, les élus ont quelque chose de spécial, non ?
Il y a quelques jours, tu as procédé à la rénovation de ton école d'enfance. C'est un projet qui te tenait à cœur ?
Oui, j’avais fait la promesse aux élèves et au personnel de l’école, lors de l'arbre de Noël annuel.
Concrètement, qu'est-ce qui a été rénové et combien ça t'a coûté ?
Dix toilettes. Nous avons changé les carreaux au sol et rajouté des carreaux au mur. Nous sommes également en train de construire deux classes pour les maternelles. J’aime ne pas trop parler de chiffres. Mais bon... ça nous a coûté une bagatelle. Il faut signifier que ma Fondation fonctionne sur fonds propre, pour l’instant.
Deux ans après, tu retournes au Palais de la Culture pour un autre concert baptisé "Élévation". Ce sera le 20 mars prochain. Pourquoi "Élévation"?
"Élévation" parce que j’aime proclamer les bonnes choses sur ma vie.
Qu'est-ce qui va changer par rapport au précédent concert au Palais de la Culture ?
De 2018 à aujourd’hui, j’ai eu à faire quatre tubes. Il y aura beaucoup de surprises.
Récemment, tu as déclaré que pour rien au monde, tu ne quitterais Emma Dobré. Est-ce à dire que tu refuserais même de signer dans une major ?
Je peux signer un partenariat avec une maison de disque incluant Emma Dobré. Et ça va dépendre des clauses contractuelles.
Aujourd'hui, tu es un artiste dont le talent et le succès ne sont plus à démontrer. C'est quoi ton prochain challenge ?
Par la grâce de Dieu, j’ai conquis l’Afrique francophone sur le terrain et dans les distinctions. Meilleur artiste de l’Afrique de l’Ouest au Kunde d'or 2019 et bien d'autres. Mon prochain challenge, c'est d'aller au-delà de ce que j’ai déjà eu à faire.
Interview réalisée par EUSTACHE GNABA
Comment va Kerozen ?
Kerozen va bien, Dieu par sa grâce.
Ton dernier single "L'élu" cumule plus d'un million de vues sur YouTube. Avant lui, tu as sorti "Abidjan puissance" qui a été vu plus de 6 millions de fois. Peut-on dire que tu as désormais la recette pour faire des tubes ?
(Rires) Sans prétention aucune, Kerozen a toujours fait des tubes, de "Mon heure a sonné" jusqu’à "L’élu". C’est le travail et la grâce divine.
C'est quoi l'histoire de "L'élu" ? Pourquoi tu te considères comme un élu ?
"L’élu", j’ai été inspiré par une prédication du pasteur Mohamed Sanogo. C’est très enrichissant ! Je profite de l’occasion pour lui dire merci. Vouloir c’est pouvoir, nous sommes tous des élus. C’est pourquoi j’ai invité mes collègues pour le clip.
Justement, concernant "L'élu". Tu as réalisé 2 clips et un mini film. À quoi cela répond ?
(Rires) Oui ! Deux clips, les élus ont quelque chose de spécial, non ?
Il y a quelques jours, tu as procédé à la rénovation de ton école d'enfance. C'est un projet qui te tenait à cœur ?
Oui, j’avais fait la promesse aux élèves et au personnel de l’école, lors de l'arbre de Noël annuel.
Concrètement, qu'est-ce qui a été rénové et combien ça t'a coûté ?
Dix toilettes. Nous avons changé les carreaux au sol et rajouté des carreaux au mur. Nous sommes également en train de construire deux classes pour les maternelles. J’aime ne pas trop parler de chiffres. Mais bon... ça nous a coûté une bagatelle. Il faut signifier que ma Fondation fonctionne sur fonds propre, pour l’instant.
Deux ans après, tu retournes au Palais de la Culture pour un autre concert baptisé "Élévation". Ce sera le 20 mars prochain. Pourquoi "Élévation"?
"Élévation" parce que j’aime proclamer les bonnes choses sur ma vie.
Qu'est-ce qui va changer par rapport au précédent concert au Palais de la Culture ?
De 2018 à aujourd’hui, j’ai eu à faire quatre tubes. Il y aura beaucoup de surprises.
Récemment, tu as déclaré que pour rien au monde, tu ne quitterais Emma Dobré. Est-ce à dire que tu refuserais même de signer dans une major ?
Je peux signer un partenariat avec une maison de disque incluant Emma Dobré. Et ça va dépendre des clauses contractuelles.
Aujourd'hui, tu es un artiste dont le talent et le succès ne sont plus à démontrer. C'est quoi ton prochain challenge ?
Par la grâce de Dieu, j’ai conquis l’Afrique francophone sur le terrain et dans les distinctions. Meilleur artiste de l’Afrique de l’Ouest au Kunde d'or 2019 et bien d'autres. Mon prochain challenge, c'est d'aller au-delà de ce que j’ai déjà eu à faire.
Interview réalisée par EUSTACHE GNABA
