La dépouille mortelle du Premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko, est arrivée samedi à 15h45 (GMT, heure locale) à l’aéroport d’Abidjan à bord d’un Grumman de la flotte présidentielle, en provenance de Larh (Allemagne), en présence de Alassane Ouattara.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et son épouse, ont au pied de l’appareil, accueilli la veuve Yolande Bakayoko à sa descente du Grumman présidentiel, sur le tarmac de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
Sur l’esplanade du pavillon présidentiel, des chapiteaux étaient dressés, en dessous desquels étaient installés des personnalités administratives et politiques, des officiers de l’armée et des diplomates, et où a eu lieu une prière dite par un imam devant M. Ouattara et la famille.
M. Ouattara qui perd un "fils" politique et un collaborateur très proche, était vêtu d’un costume noir, signe de deuil. Son épouse, également habillée d’un vêtement noir, perd un filleul, attachant et plein de générosité.
Le Premier ministre Hamed Bakayoko, affaibli par la maladie, s’était rendu le 18 février en France pour des soins médicaux. Sa situation s’aggravant, il a été évacué d’urgence dans un centre d’oncologie en Allemagne, où il a tiré mercredi sa révérence des suites d’un cancer du foie.
Très proche de la base de la société, Hamed Bakayoko, surnommé le "Golden boy", s’est battu dans la vie pour atteindre ce niveau de succès politique. A Abidjan, des jeunes ont fait une haie d’honneur pour accueillir celui-là qui est un modèle inspirant.
Un deuil national a été décrété, allant du 12 au 19 mars 2021, au cours duquel le drapeau devrait être en berne à travers le pays et dans les ambassades ivoiriennes. Du lundi au mercredi sont prévus des piqués d’honneur avant l’inhumation le vendredi à Séguéla (nord-ouest), la terre de ses ancêtres.
AP/ls/APA
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et son épouse, ont au pied de l’appareil, accueilli la veuve Yolande Bakayoko à sa descente du Grumman présidentiel, sur le tarmac de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
Sur l’esplanade du pavillon présidentiel, des chapiteaux étaient dressés, en dessous desquels étaient installés des personnalités administratives et politiques, des officiers de l’armée et des diplomates, et où a eu lieu une prière dite par un imam devant M. Ouattara et la famille.
M. Ouattara qui perd un "fils" politique et un collaborateur très proche, était vêtu d’un costume noir, signe de deuil. Son épouse, également habillée d’un vêtement noir, perd un filleul, attachant et plein de générosité.
Le Premier ministre Hamed Bakayoko, affaibli par la maladie, s’était rendu le 18 février en France pour des soins médicaux. Sa situation s’aggravant, il a été évacué d’urgence dans un centre d’oncologie en Allemagne, où il a tiré mercredi sa révérence des suites d’un cancer du foie.
Très proche de la base de la société, Hamed Bakayoko, surnommé le "Golden boy", s’est battu dans la vie pour atteindre ce niveau de succès politique. A Abidjan, des jeunes ont fait une haie d’honneur pour accueillir celui-là qui est un modèle inspirant.
Un deuil national a été décrété, allant du 12 au 19 mars 2021, au cours duquel le drapeau devrait être en berne à travers le pays et dans les ambassades ivoiriennes. Du lundi au mercredi sont prévus des piqués d’honneur avant l’inhumation le vendredi à Séguéla (nord-ouest), la terre de ses ancêtres.
AP/ls/APA