La nouvelle stratégie du genre pour la période 2021-2025, rendue publique le 3 février 2021, renforce les engagements de la Banque africaine de développement (BAD) en faveur de l’autonomisation des femmes, notamment dans la situation de fragilité à laquelle le Sahel et le bassin du Lac Tchad font face.
Dans ces deux régions marquées par des crises multiformes, la Banque s’emploie à mettre en œuvre des initiatives qui visent à promouvoir l’égalité des genres et accélérer la résilience économique des femmes, rapporte un communiqué publié le 9 mars 2021.
En effet, les inégalités de genre au Sahel et dans le Bassin du Lac Tchad s’aggravent en raison des défis liés au changement climatique et à l’insécurité qui poussent les femmes et les communautés dans un cycle de vulnérabilité.
La Banque reconnaît que l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes est un facteur clé pour la stabilité et le développement durable. Leur rôle essentiel s’est renforcé en raison de la crise sanitaire, avec un accroissement de la charge de travail non rémunéré et un accès réduit aux sources de revenus (en raison des restrictions). Pour ces raisons, il est essentiel que les femmes continuent d’accéder davantage aux ressources économiques et productives, malgré le contexte de grande fragilité dans ces deux régions.
La Banque va ainsi financer pour près de 2,4 millions de dollars américains un projet de renforcement des capacités de la Commission du bassin du Lac Tchad (CBLT) et surtout d’autonomisation des femmes et des jeunes au Niger et au Tchad.
Le Projet multinational d’autonomisation économique des femmes et des jeunes vulnérables dans la région du Sahel est destiné, quant à lui, à renforcer l’action de la Banque en faveur des femmes maliennes, nigériennes et tchadiennes.
Financé à hauteur de 1,4 million de dollars par la Banque, ce projet contribuera à réduire les conséquences humanitaires issues de la précarité créées par les crises, conflits et autres chocs climatiques.
(AIP)
cmas
Dans ces deux régions marquées par des crises multiformes, la Banque s’emploie à mettre en œuvre des initiatives qui visent à promouvoir l’égalité des genres et accélérer la résilience économique des femmes, rapporte un communiqué publié le 9 mars 2021.
En effet, les inégalités de genre au Sahel et dans le Bassin du Lac Tchad s’aggravent en raison des défis liés au changement climatique et à l’insécurité qui poussent les femmes et les communautés dans un cycle de vulnérabilité.
La Banque reconnaît que l’égalité de genre et l’autonomisation des femmes est un facteur clé pour la stabilité et le développement durable. Leur rôle essentiel s’est renforcé en raison de la crise sanitaire, avec un accroissement de la charge de travail non rémunéré et un accès réduit aux sources de revenus (en raison des restrictions). Pour ces raisons, il est essentiel que les femmes continuent d’accéder davantage aux ressources économiques et productives, malgré le contexte de grande fragilité dans ces deux régions.
La Banque va ainsi financer pour près de 2,4 millions de dollars américains un projet de renforcement des capacités de la Commission du bassin du Lac Tchad (CBLT) et surtout d’autonomisation des femmes et des jeunes au Niger et au Tchad.
Le Projet multinational d’autonomisation économique des femmes et des jeunes vulnérables dans la région du Sahel est destiné, quant à lui, à renforcer l’action de la Banque en faveur des femmes maliennes, nigériennes et tchadiennes.
Financé à hauteur de 1,4 million de dollars par la Banque, ce projet contribuera à réduire les conséquences humanitaires issues de la précarité créées par les crises, conflits et autres chocs climatiques.
(AIP)
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