Après trois (3) jours de course sur 500km à Yamoussoukro et environs, l’équipage composé de Gary Chaynes ( pilote) et Romain Comas (Co-pilote), a remporté le14 mars 2021 la 47e édition du rallye Côte d’Ivoire Bandama sur un temps de 02.22.31 avec la Mitsubishi Evo 9.
« L’édition 2021 est notre 6e victoire après celles de 2014, 2015, 2016, 2018 et 2020. Je suis très heureux d’avoir relevé ce défi. Prochain challenge, le rallye de gagnoa » , s’est réjoui a le vainqueur.
Gary Chaynes, fait du rallye depuis 2008. A 33 ans, il fait partie des meilleurs pilotes du continent. Pour lui, il faut de "la passion, du sérieux, une bonne assistance mécanique et une bonne condition physique pour être un bon pilote de rallye".
Sur la 2e et 3e marche du podium, on retrouve les équipages composés de Maxim Abondio (pilote) et Miguel Hugo Borges ( co-pilote) et Alexandre Barbary et Serge Dagnaud.
Une mention spéciale a été faite au seul équipage 100% féminin composé de la pilote Aïssata Soumahoro et sa co-pilote, Elodie Mollon . Sur 22 equipages au top départ, ces braves dames d’une trentaine d’années, ont parcouru tout le circuit et occupé la 7e place du classement sur les 12 équipages qui ont terminé la course.
Pour Aïssata Soumahoro, c’est non seulement la satisfaction d’un rêve, mais aussi l’accomplissement d’un voeu fait à son défunt père. « C’est un sentiment de satisfaction et de fierté qui m’anime en ce jour. L’objectif pour nous était de participer, ne pas abandonner et de terminer la course. Nous avons voulu défendre la place de la femme dans cette compétition afin de susciter des vocations » a t-elle indiqué.
Elle a par ailleurs dédié cette victoire à son défunt père, lui-même pilote de rallye. « Il ya 2 ans je faisais le Bandama avec mon père et mon rêve était de terminer avec lui sur la haute marche du podium. Malheureusement, il nous a quittés la même année. Son vœux en me laissant seule le volant était que je contribue à l’expansion de cette discipline. C’est ce que je m’attelle à faire et j’espère qu’il est fière de moi de là où il se trouve », raconte-t-elle.
Des pneus crevés, des roulements éclatés, des pannes mécaniques, des accidents ( tonneaux) et des abandons, il en a eu durant ces trois jours de compétition. Mais au final, "tout s’est bien déroulé dans la convivialité sans dégâts majeurs", s’est réjoui Alain Ambrosino, président de la fédération ivoirienne des sports automobiles.
Atapointe
« L’édition 2021 est notre 6e victoire après celles de 2014, 2015, 2016, 2018 et 2020. Je suis très heureux d’avoir relevé ce défi. Prochain challenge, le rallye de gagnoa » , s’est réjoui a le vainqueur.
Gary Chaynes, fait du rallye depuis 2008. A 33 ans, il fait partie des meilleurs pilotes du continent. Pour lui, il faut de "la passion, du sérieux, une bonne assistance mécanique et une bonne condition physique pour être un bon pilote de rallye".
Sur la 2e et 3e marche du podium, on retrouve les équipages composés de Maxim Abondio (pilote) et Miguel Hugo Borges ( co-pilote) et Alexandre Barbary et Serge Dagnaud.
Une mention spéciale a été faite au seul équipage 100% féminin composé de la pilote Aïssata Soumahoro et sa co-pilote, Elodie Mollon . Sur 22 equipages au top départ, ces braves dames d’une trentaine d’années, ont parcouru tout le circuit et occupé la 7e place du classement sur les 12 équipages qui ont terminé la course.
Pour Aïssata Soumahoro, c’est non seulement la satisfaction d’un rêve, mais aussi l’accomplissement d’un voeu fait à son défunt père. « C’est un sentiment de satisfaction et de fierté qui m’anime en ce jour. L’objectif pour nous était de participer, ne pas abandonner et de terminer la course. Nous avons voulu défendre la place de la femme dans cette compétition afin de susciter des vocations » a t-elle indiqué.
Elle a par ailleurs dédié cette victoire à son défunt père, lui-même pilote de rallye. « Il ya 2 ans je faisais le Bandama avec mon père et mon rêve était de terminer avec lui sur la haute marche du podium. Malheureusement, il nous a quittés la même année. Son vœux en me laissant seule le volant était que je contribue à l’expansion de cette discipline. C’est ce que je m’attelle à faire et j’espère qu’il est fière de moi de là où il se trouve », raconte-t-elle.
Des pneus crevés, des roulements éclatés, des pannes mécaniques, des accidents ( tonneaux) et des abandons, il en a eu durant ces trois jours de compétition. Mais au final, "tout s’est bien déroulé dans la convivialité sans dégâts majeurs", s’est réjoui Alain Ambrosino, président de la fédération ivoirienne des sports automobiles.
Atapointe