Abidjan- La galerie la Rotonde des arts contemporains a organisé, jeudi 18 mars 2021, le vernissage de "Babi blues", une exposition du Français Fabrice Sergent.
Après sept ans de présence, le banquier-peintre présente le tracé, huile sur toile, des tableaux lumineux avec du jaune, mais aussi, dans un compartiment de la galerie, des œuvres intimistes, plutôt sombres.
Se définissant ambivalent, l’artiste dit avoir eu pour inspiration d’être "là, ci et en même temps pas", après sept ans à la tête d’une banque en Côte d’Ivoire, gratifiant de sa profonde reconnaissance, Pr Yacouba Sangaré, commissaire de l’exposition, qui lui a facilité l’éclosion du "talent latent".
"In the bush of my dreams", "Au village", "Bassam Plage", "Un soir au Sahara", entre autres, traduisent, chacune, la maturité de l’artiste après ses pérégrinations au Cambodge et en Tunisie.
"Babi blues" pour le blues d’Abidjan se veut la trace, sinon la transcription de la musique en peinture, avec un clin d’œil à Grand-Bassam ou même à Guantanamo.
Mais si les sujets sont mélancoliques, les tableaux ne sont pas tristes mais véhiculent l’espérance par des couleurs vives ou domine le jaune, "dans un témoignage du temps dans sa globalité", a souligné Pr Sangaré.
Il est prévu à l’agenda de la galerie, le 7 avril, une exposition de sculpture sur le génocide rwandais et en mai, une exposition de peinture sur la peinture du développement par les jeunes en collaboration avec les Beaux-arts bruxellois.
aaa/cmas
Après sept ans de présence, le banquier-peintre présente le tracé, huile sur toile, des tableaux lumineux avec du jaune, mais aussi, dans un compartiment de la galerie, des œuvres intimistes, plutôt sombres.
Se définissant ambivalent, l’artiste dit avoir eu pour inspiration d’être "là, ci et en même temps pas", après sept ans à la tête d’une banque en Côte d’Ivoire, gratifiant de sa profonde reconnaissance, Pr Yacouba Sangaré, commissaire de l’exposition, qui lui a facilité l’éclosion du "talent latent".
"In the bush of my dreams", "Au village", "Bassam Plage", "Un soir au Sahara", entre autres, traduisent, chacune, la maturité de l’artiste après ses pérégrinations au Cambodge et en Tunisie.
"Babi blues" pour le blues d’Abidjan se veut la trace, sinon la transcription de la musique en peinture, avec un clin d’œil à Grand-Bassam ou même à Guantanamo.
Mais si les sujets sont mélancoliques, les tableaux ne sont pas tristes mais véhiculent l’espérance par des couleurs vives ou domine le jaune, "dans un témoignage du temps dans sa globalité", a souligné Pr Sangaré.
Il est prévu à l’agenda de la galerie, le 7 avril, une exposition de sculpture sur le génocide rwandais et en mai, une exposition de peinture sur la peinture du développement par les jeunes en collaboration avec les Beaux-arts bruxellois.
aaa/cmas