Tortiya- Des professeurs et autres agents bénévoles du collège moderne de Tortiya, dans le département de Niakara, ont appelé à l'aide "urgente" du conseil régional du Hambol, en déplorant trois mois de suspension de leur traitement salarial par le Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) local.
"Cela fait exactement trois mois que nous vivotons parce que privés de notre traitement pécuniaire et le COGES, notre employeur, évoque la suspension de leurs activités", a décrié le porte-parole des professeurs et agents volontaires du collège moderne de Tortiya, Ibrahim Tuo Ténilo, dans un entretien avec l'AIP, vendredi 19 mars 2021.
Professeur bénévole de mathématiques et porte-voix des cinq volontaires recrutés par le COGES du collège moderne de Tortiya, M. Tuo a souhaité l'implication "urgente" du Conseil régional du Hambol.
Le Gouvernement ivoirien a suspendu les cotisations à l'initiative des COGES sur toute l'étendue du territoire depuis octobre 2020. Une décision qui, selon plusieurs présidents de bureau de ces structures locales, " a littéralement paralysé la mise en œuvre de leurs engagements".
"Un sac vide ne peut tenir debout. Depuis trois mois maintenant, nous consentons des sacrifices énormes pour l'encadrement efficient de nos petits frères, avec des espoirs qui semblent pour l'heure vains", a-t-il déclaré, dépité, avant d'appeler le conseil régional du Hambol au secours".
jbm/nmfa/fmo
"Cela fait exactement trois mois que nous vivotons parce que privés de notre traitement pécuniaire et le COGES, notre employeur, évoque la suspension de leurs activités", a décrié le porte-parole des professeurs et agents volontaires du collège moderne de Tortiya, Ibrahim Tuo Ténilo, dans un entretien avec l'AIP, vendredi 19 mars 2021.
Professeur bénévole de mathématiques et porte-voix des cinq volontaires recrutés par le COGES du collège moderne de Tortiya, M. Tuo a souhaité l'implication "urgente" du Conseil régional du Hambol.
Le Gouvernement ivoirien a suspendu les cotisations à l'initiative des COGES sur toute l'étendue du territoire depuis octobre 2020. Une décision qui, selon plusieurs présidents de bureau de ces structures locales, " a littéralement paralysé la mise en œuvre de leurs engagements".
"Un sac vide ne peut tenir debout. Depuis trois mois maintenant, nous consentons des sacrifices énormes pour l'encadrement efficient de nos petits frères, avec des espoirs qui semblent pour l'heure vains", a-t-il déclaré, dépité, avant d'appeler le conseil régional du Hambol au secours".
jbm/nmfa/fmo