Abidjan - L’écrivain burkinabé Benjamin Bouda, à travers son oeuvre" les anges cruels", a exhorté samedi 20 mars 2021, la jeunesse africaine en particulier burkinabè à s’approprier les valeurs traditionnelles, afin de se faire une vision du futur dans un monde pris en otage par la modernité, rapporte l'Agence d'informations du Burkina Faso ( AIB).
«Si nous voyons notre société d’aujourd’hui, nous nous rendons compte que nous sommes perdus et que l’homme noir doit se ressaisir. Nous sommes en train de suivre le blanc et cela me touche vraiment au cœur», a affirmé M. Bouda à Ouagadougou au cours d'une cérémonie de dédicace de son livre.
Selon lui, il compte conscientiser la jeunesse du Burkina Faso, à travers son livre qui évoque l’importance des valeurs traditionnelles dans un monde en proie à la modernité. Il a expliqué que son roman de 180 pages invite les Burkinabè à réfléchir sur la tradition et la culture pour se faire une vision du futur pour éviter une certaine déperdition dans la société.
«Dans la tradition, il y a ce qui est bon et ce qui est mauvais et il revient aux jeunes d’opérer le bon choix », a-t-il soutenu.
Benjamin Bouda, précise avoir entamé l’écriture de son œuvre depuis sa classe de 3e au lycée provincial Naaba Baongo de Manga, dans la région du Centre-Sud du Burkina Faso. L’auteur dit avoir été traumatisé par des phénomènes naturels dès son enfance et c’est ce qui l’a motivé à concrétiser son rêve par la rédaction de son roman «Les anges cruels».
M. Bouda a fait observer que son livre est une romanesque qui retrace l’histoire d’un jeune garçon du nom de Yembi, né d’une famille pauvre. A l’en croire, le jeune est issu d’une société traditionnelle troublée par des catastrophes naturelles où l’éducation et la cohésion sociale étaient au centre du vécu.
L’auteur a fait savoir que Yembi dès son bas âge a été sous les péripéties du phénomène de la sorcellerie et de l’impact de la culture occidentale.
Benjamin Bouda, auteur de l’œuvre "Les anges cruels", par ailleurs douanier, est né en 1985 à Bazin dans la région du Centre-Sud du Burkina Faso. Il est titulaire d’une licence en 2010 et d’une maîtrise C2 en 2011 de l’Université Josep Ki-Zerbo de Ouagadougou.
sdaf/kam
«Si nous voyons notre société d’aujourd’hui, nous nous rendons compte que nous sommes perdus et que l’homme noir doit se ressaisir. Nous sommes en train de suivre le blanc et cela me touche vraiment au cœur», a affirmé M. Bouda à Ouagadougou au cours d'une cérémonie de dédicace de son livre.
Selon lui, il compte conscientiser la jeunesse du Burkina Faso, à travers son livre qui évoque l’importance des valeurs traditionnelles dans un monde en proie à la modernité. Il a expliqué que son roman de 180 pages invite les Burkinabè à réfléchir sur la tradition et la culture pour se faire une vision du futur pour éviter une certaine déperdition dans la société.
«Dans la tradition, il y a ce qui est bon et ce qui est mauvais et il revient aux jeunes d’opérer le bon choix », a-t-il soutenu.
Benjamin Bouda, précise avoir entamé l’écriture de son œuvre depuis sa classe de 3e au lycée provincial Naaba Baongo de Manga, dans la région du Centre-Sud du Burkina Faso. L’auteur dit avoir été traumatisé par des phénomènes naturels dès son enfance et c’est ce qui l’a motivé à concrétiser son rêve par la rédaction de son roman «Les anges cruels».
M. Bouda a fait observer que son livre est une romanesque qui retrace l’histoire d’un jeune garçon du nom de Yembi, né d’une famille pauvre. A l’en croire, le jeune est issu d’une société traditionnelle troublée par des catastrophes naturelles où l’éducation et la cohésion sociale étaient au centre du vécu.
L’auteur a fait savoir que Yembi dès son bas âge a été sous les péripéties du phénomène de la sorcellerie et de l’impact de la culture occidentale.
Benjamin Bouda, auteur de l’œuvre "Les anges cruels", par ailleurs douanier, est né en 1985 à Bazin dans la région du Centre-Sud du Burkina Faso. Il est titulaire d’une licence en 2010 et d’une maîtrise C2 en 2011 de l’Université Josep Ki-Zerbo de Ouagadougou.
sdaf/kam
