Dabou - La première édition du "Leboutou Socraf" festival, s’est ouvert jeudi 1er avril 2021, à la place Henri Konan Bédié de Dabou.
Il a été organisé par Kock holding, une structure regroupant des jeunes actifs originaires de diverses régions du pays et de la sous-région ouest africaine, qui ont des intérêts à Dabou et qui souhaitent promouvoir la paix, la cohésion sociale et la réconciliation au travers de ce festival.
Selon le commissaire général dudit festival, Hervé Gnally, les récentes violences intercommunautaires de la présidentielle et ses conséquences néfastes ont suscité l’organisation de ce festival, qui est une occasion de retrouvaille autour d’une même cause que sont la réconciliation, la paix et la cohésion sociale.
Durant quatre jours, les participants issus de toutes les composantes des populations vivant dans le département ont présenté les matins et l’après-midi des danses traditionnelles, des jeux, des espaces gastronomiques, des jeux d’alliances inter ethniques, etc. Les soirs ont été réservés au volet festif, les prestations d’artistes, les spectacles et l’action des partenaires, les brasseries et les maisons de téléphonies mobiles.
Plusieurs communautés nationales et sous régionales ouest africaines vivant à Dabou ont donné leur caution à la tenue de ce festival qui, selon Kabré Tihinga, porte de la communauté burkinabè, va impacter positivement le processus de réconciliation à Dabou.
Présent à la cérémonie d’ouverture du festival, le représentant du maire de la commune, Vauvey Lambert, par ailleurs responsable du service socio- culturel à la mairie, tout en saluant l’initiative, a promis ne ménager aucun effort pour accompagner toutes les actions qui s’inscrivent dans cette démarche.
bec/fmo
Il a été organisé par Kock holding, une structure regroupant des jeunes actifs originaires de diverses régions du pays et de la sous-région ouest africaine, qui ont des intérêts à Dabou et qui souhaitent promouvoir la paix, la cohésion sociale et la réconciliation au travers de ce festival.
Selon le commissaire général dudit festival, Hervé Gnally, les récentes violences intercommunautaires de la présidentielle et ses conséquences néfastes ont suscité l’organisation de ce festival, qui est une occasion de retrouvaille autour d’une même cause que sont la réconciliation, la paix et la cohésion sociale.
Durant quatre jours, les participants issus de toutes les composantes des populations vivant dans le département ont présenté les matins et l’après-midi des danses traditionnelles, des jeux, des espaces gastronomiques, des jeux d’alliances inter ethniques, etc. Les soirs ont été réservés au volet festif, les prestations d’artistes, les spectacles et l’action des partenaires, les brasseries et les maisons de téléphonies mobiles.
Plusieurs communautés nationales et sous régionales ouest africaines vivant à Dabou ont donné leur caution à la tenue de ce festival qui, selon Kabré Tihinga, porte de la communauté burkinabè, va impacter positivement le processus de réconciliation à Dabou.
Présent à la cérémonie d’ouverture du festival, le représentant du maire de la commune, Vauvey Lambert, par ailleurs responsable du service socio- culturel à la mairie, tout en saluant l’initiative, a promis ne ménager aucun effort pour accompagner toutes les actions qui s’inscrivent dans cette démarche.
bec/fmo