Les prix des denrées de première nécessité connaissent une hausse sur le marché de Grabo, a constaté l'AIP.
Du coup, le litre d'huile est passé de 1000 francs CFA à 1200 francs CFA, la boîte de 1kg de lait (Nido) a connu une augmentation de 300 car désormais vendu à 2500 francs CFA, le gaz Butane (B6) est passé de 2000 francs CFA à 3500 francs CFA, etc. Les exemples sont légions.
Les commerçants justifient cette hausse des prix par rapport au mauvais état de la route San Pedro-Grabo. Une affirmation que rejettent les consommateurs qui rétorquent que ces deux dernières années, la société Palmci et le Conseil Café-cacao ont déployé beaucoup d'efforts pour rendre la voie très praticable.
Kouya Bohi, planteur de son état, demande des missions inopinées des contrôleurs de prix dans la ville pour juguler l'inflation car la situation de hausse des prix des denrées est préjudiciable aux consommateurs, face la mévente des produits de rente que sont le cacao et l'hévéa.
"Il faut que les contrôleurs de prix y viennent régulièrement pour nous sauver de cette situation surtout que les prix de nos produits ne font que baisser. En moins de deux mois, le cacao est passé de 1000 à 700 francs le kilogramme, tandis que la situation d'hévéa est encore plus grave", a-t-il dénoncé.
(AIP)
Du coup, le litre d'huile est passé de 1000 francs CFA à 1200 francs CFA, la boîte de 1kg de lait (Nido) a connu une augmentation de 300 car désormais vendu à 2500 francs CFA, le gaz Butane (B6) est passé de 2000 francs CFA à 3500 francs CFA, etc. Les exemples sont légions.
Les commerçants justifient cette hausse des prix par rapport au mauvais état de la route San Pedro-Grabo. Une affirmation que rejettent les consommateurs qui rétorquent que ces deux dernières années, la société Palmci et le Conseil Café-cacao ont déployé beaucoup d'efforts pour rendre la voie très praticable.
Kouya Bohi, planteur de son état, demande des missions inopinées des contrôleurs de prix dans la ville pour juguler l'inflation car la situation de hausse des prix des denrées est préjudiciable aux consommateurs, face la mévente des produits de rente que sont le cacao et l'hévéa.
"Il faut que les contrôleurs de prix y viennent régulièrement pour nous sauver de cette situation surtout que les prix de nos produits ne font que baisser. En moins de deux mois, le cacao est passé de 1000 à 700 francs le kilogramme, tandis que la situation d'hévéa est encore plus grave", a-t-il dénoncé.
(AIP)