Abidjan - La surveillance de l’innocuité des vaccins est une composante essentielle du déploiement des vaccins contre la COVID-19, rapporte un communiqué de l'OMS Afro publié jeudi 15 avril 2021 et selon lequel plus de 13,6 millions de doses de vaccin ont déjà été administrées en Afrique, dont 12 millions de doses du vaccin AstraZeneca.
À ce jour, la plupart des rapports faisant état de manifestations postvaccinales indésirables ne concernent que des effets secondaires bénins ou modérés. Jusqu’ici, aucun cas de trouble de la coagulation sanguine n’a été notifié après la vaccination, poursuit la note.
Le Forum africain pour la réglementation des vaccins (AVAREF), une plateforme pilotée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), soutient les pays africains pour qu’ils puissent renforcer leurs capacités de réglementation et de contrôle, notamment en ce qui concerne l’autorisation et l’inspection des essais cliniques, ainsi que l’homologation des vaccins et d’autres produits médicaux. Le continent a mis en place des organismes de réglementation dotés de capacités robustes.
« Afin de ralentir considérablement la propagation de la COVID-19, nous devons réduire le nombre de cas de formes sévères de la maladie, ainsi que le taux d’hospitalisation et de décès. Chaque dose administrée nous rapproche est un pas de plus vers la fin de cette pandémie », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.
De récents rapports ont signalé des troubles rares de la coagulation sanguine chez des personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca dans plusieurs pays européens, et le vaccin Johnson & Johnson aux États-Unis d’Amérique. Le Comité consultatif mondial de l’OMS de la sécurité des vaccins évalue attentivement les rapports concernant le vaccin Johnson & Johnson. S’agissant du vaccin AstraZeneca, l’examen mené par le Comité a permis d’établir qu’une relation de cause à effet est plausible entre le vaccin et la survenance de caillots sanguins avec une faible numération plaquettaire, même si une telle hypothèse reste à confirmer.
À ce jour, plus de 200 millions de personnes ont reçu des doses du vaccin AstraZeneca dans le monde, et le nombre de cas de caillots sanguins et numération plaquettaire faible sont extrêmement réduits – moins de 200 cas ont été notifiés jusqu’ici. En revanche, la COVID-19 a déjà entraîné près de trois millions de décès dans le monde.
En Afrique, les doses du vaccin AstraZeneca ont été distribuées à 36 pays par le canal du Mécanisme COVAX, une plateforme d’achat de vaccins codirigée par la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), Gavi l’Alliance du vaccin et l’OMS, en partenariat avec l’UNICEF.
En tout, 45 pays africains ont déjà lancé leurs campagnes de vaccination contre la COVID-19. Plus de deux tiers des doses administrées l’ont été dans 10 pays dont les stocks s’amenuisent ou sont déjà épuisés.
cmas
À ce jour, la plupart des rapports faisant état de manifestations postvaccinales indésirables ne concernent que des effets secondaires bénins ou modérés. Jusqu’ici, aucun cas de trouble de la coagulation sanguine n’a été notifié après la vaccination, poursuit la note.
Le Forum africain pour la réglementation des vaccins (AVAREF), une plateforme pilotée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), soutient les pays africains pour qu’ils puissent renforcer leurs capacités de réglementation et de contrôle, notamment en ce qui concerne l’autorisation et l’inspection des essais cliniques, ainsi que l’homologation des vaccins et d’autres produits médicaux. Le continent a mis en place des organismes de réglementation dotés de capacités robustes.
« Afin de ralentir considérablement la propagation de la COVID-19, nous devons réduire le nombre de cas de formes sévères de la maladie, ainsi que le taux d’hospitalisation et de décès. Chaque dose administrée nous rapproche est un pas de plus vers la fin de cette pandémie », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.
De récents rapports ont signalé des troubles rares de la coagulation sanguine chez des personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca dans plusieurs pays européens, et le vaccin Johnson & Johnson aux États-Unis d’Amérique. Le Comité consultatif mondial de l’OMS de la sécurité des vaccins évalue attentivement les rapports concernant le vaccin Johnson & Johnson. S’agissant du vaccin AstraZeneca, l’examen mené par le Comité a permis d’établir qu’une relation de cause à effet est plausible entre le vaccin et la survenance de caillots sanguins avec une faible numération plaquettaire, même si une telle hypothèse reste à confirmer.
À ce jour, plus de 200 millions de personnes ont reçu des doses du vaccin AstraZeneca dans le monde, et le nombre de cas de caillots sanguins et numération plaquettaire faible sont extrêmement réduits – moins de 200 cas ont été notifiés jusqu’ici. En revanche, la COVID-19 a déjà entraîné près de trois millions de décès dans le monde.
En Afrique, les doses du vaccin AstraZeneca ont été distribuées à 36 pays par le canal du Mécanisme COVAX, une plateforme d’achat de vaccins codirigée par la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), Gavi l’Alliance du vaccin et l’OMS, en partenariat avec l’UNICEF.
En tout, 45 pays africains ont déjà lancé leurs campagnes de vaccination contre la COVID-19. Plus de deux tiers des doses administrées l’ont été dans 10 pays dont les stocks s’amenuisent ou sont déjà épuisés.
cmas