Grand-Lahou - La directrice régionale de l'Education nationale et de l'Alphabétisation (DRENA) de Dabou, Fofana née Sangaré Sarah, a apporté son assistance aux mineures présumées séquestrées par l’institutrice à Grand-Lahou.
Une institutrice à l’école primaire et préscolaire publique Lowa Beugré de Grand-Lahou a été mise aux arrêts par la police, mercredi 21 avril 2021, pour séquestration régulière de trois mineures pendant ses ébats sexuels avec son amant activement recherché, rappelle-t-on.
"Lorsque nous avons appris la nouvelle de séquestration sur des mineures nous avons effectué le déplacement à Grand-Lahou surtout que cet acte regrettable a été perpétré par une institutrice", a indiqué Mme Fofana.
Elle a indiqué que son déplacement s'inscrit dans le cadre scolaire même si l'enseignante a posé l'acte sur des élèves (dont deux scolarisée) qui sont sur sa coupole en dehors de sa zone de compétence.
La directrice régionale a annoncé qu’un soutien moral et financier sera apporté aux deux élèves qui ont subi les sévices corporels. « Nous suivrons régulièrement ces élèves dont l'une est en classe de CP2 et l'autre en classe de sixième », a-t-elle ajouté.
L’Inspecteur de l'enseignement primaire et préscolaire (IEPP) de Grand-Lahou, Kongo Joson, a indiqué qu'il mettra tout en œuvre afin que les deux élèves puissent reprendre les cours dans les plus brefs délais et dans de meilleures conditions de travail.
rk/yc/tad/fmo
Une institutrice à l’école primaire et préscolaire publique Lowa Beugré de Grand-Lahou a été mise aux arrêts par la police, mercredi 21 avril 2021, pour séquestration régulière de trois mineures pendant ses ébats sexuels avec son amant activement recherché, rappelle-t-on.
"Lorsque nous avons appris la nouvelle de séquestration sur des mineures nous avons effectué le déplacement à Grand-Lahou surtout que cet acte regrettable a été perpétré par une institutrice", a indiqué Mme Fofana.
Elle a indiqué que son déplacement s'inscrit dans le cadre scolaire même si l'enseignante a posé l'acte sur des élèves (dont deux scolarisée) qui sont sur sa coupole en dehors de sa zone de compétence.
La directrice régionale a annoncé qu’un soutien moral et financier sera apporté aux deux élèves qui ont subi les sévices corporels. « Nous suivrons régulièrement ces élèves dont l'une est en classe de CP2 et l'autre en classe de sixième », a-t-elle ajouté.
L’Inspecteur de l'enseignement primaire et préscolaire (IEPP) de Grand-Lahou, Kongo Joson, a indiqué qu'il mettra tout en œuvre afin que les deux élèves puissent reprendre les cours dans les plus brefs délais et dans de meilleures conditions de travail.
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