Bondoukou– Des leaders des organisations des jeunes et des femmes, des partis politiques, des hommes de média et de foras de Bondoukou se forment, depuis lundi 3 mai 2021, à acquérir les rudiments pouvant leur permettre de prévenir les discours de haine et les conflits socio-politiques.
Cette session de formation, en présentiel et en ligne, vise à renforcer l'implication de ces leaders d'opinion dans les initiatives de paix au sein de leurs communautés, en luttant contre la désinformation, les fausses nouvelles, les discours de haine et les violences socio-politiques.
Elle est initiée par le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), en partenariat avec le ministère de la Réconciliation et de la Cohésion sociale et la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix.
Les thématiques abordées sont, entre autres l’ethnie, les représentations, préjugés et stéréotypes, l’identité et conflits communautaires, la communication non violente ainsi que la reconnaissance et les conséquences des discours de haine.
Le représentant de la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix, Tié Bi Lucien a indiqué que la violence n’est pas une fatalité et a exhorté les participants à "construire durablement les bases de la paix et à promouvoir les valeurs comme la tolérance, la non –violence, la solidarité ainsi que le respect des droits de l’homme".
L'atelier s'achève mardi 4 avril.
zaar/ask
Cette session de formation, en présentiel et en ligne, vise à renforcer l'implication de ces leaders d'opinion dans les initiatives de paix au sein de leurs communautés, en luttant contre la désinformation, les fausses nouvelles, les discours de haine et les violences socio-politiques.
Elle est initiée par le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), en partenariat avec le ministère de la Réconciliation et de la Cohésion sociale et la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix.
Les thématiques abordées sont, entre autres l’ethnie, les représentations, préjugés et stéréotypes, l’identité et conflits communautaires, la communication non violente ainsi que la reconnaissance et les conséquences des discours de haine.
Le représentant de la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix, Tié Bi Lucien a indiqué que la violence n’est pas une fatalité et a exhorté les participants à "construire durablement les bases de la paix et à promouvoir les valeurs comme la tolérance, la non –violence, la solidarité ainsi que le respect des droits de l’homme".
L'atelier s'achève mardi 4 avril.
zaar/ask