Jacqueville- L’Organisation non gouvernementale (ONG) "J’aime Jaqueville" a exprimé sa solidarité envers les populations sinistrées du campement de Tiemien (situé à quelques encablures d’Addah, sur l’axe Jacqueville - Toukouzou), le jeudi 06 mai 2021, lors d’une visite.
Du matériel de premier secours, des vivres et non-vivres ont été remis ainsi que la promesse de la construction d’un forage dans les jours à venir au profit de la population de Témien qui a été victime d’une barbarie. Des inconnus venus nuitamment y ont mis le feu, brûlant des maisons et occasionnant plusieurs pertes en biens matériels.
Face à ce sinistre, le président de l’ONG "J’aime Jacqueville", Jil Alexandre N’dia, a exprimé son amertume de voir que des frères d’une même communauté arrivent à cet extrême. Il a invité les populations à pratiquer la tolérance, le vivre-ensemble, ainsi que la retenue pour une paix durable.
Selon le chef de la communauté togolaise du campement sinistré, André Tossa, cette histoire remonte au mois d’avril. Un jeune venu d’un village environnant a trouvé la mort suite à un concours de "koutoukou" (boisson frelatée) organisé avec ses amis.
La victime s’est écroulée après son huitième verre, sous le regard impuissant de ses "supporters". Criant à un empoisonnement, des jeunes dont l’identité reste inconnue se sont rendus deux semaines plus tard dans le village pour venger leur camarade, laissant le campement en feu.
raz/bsb/cmas
Du matériel de premier secours, des vivres et non-vivres ont été remis ainsi que la promesse de la construction d’un forage dans les jours à venir au profit de la population de Témien qui a été victime d’une barbarie. Des inconnus venus nuitamment y ont mis le feu, brûlant des maisons et occasionnant plusieurs pertes en biens matériels.
Face à ce sinistre, le président de l’ONG "J’aime Jacqueville", Jil Alexandre N’dia, a exprimé son amertume de voir que des frères d’une même communauté arrivent à cet extrême. Il a invité les populations à pratiquer la tolérance, le vivre-ensemble, ainsi que la retenue pour une paix durable.
Selon le chef de la communauté togolaise du campement sinistré, André Tossa, cette histoire remonte au mois d’avril. Un jeune venu d’un village environnant a trouvé la mort suite à un concours de "koutoukou" (boisson frelatée) organisé avec ses amis.
La victime s’est écroulée après son huitième verre, sous le regard impuissant de ses "supporters". Criant à un empoisonnement, des jeunes dont l’identité reste inconnue se sont rendus deux semaines plus tard dans le village pour venger leur camarade, laissant le campement en feu.
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