L’ONG Alliance Côte d’Ivoire a organisé mardi 11 mai 2021 à Aboisso, une table ronde en vue d’évaluer les engagements pris par les organisations de la société civile, les citoyens et les collectivités territoriales et déconcentrées et documentés dans le cadre de son projet « Mi kanh Midiè » visant entre autre à lutter contre les violences basées sur le genre (VBG).
Alliance Côte d’Ivoire avait pour objectif dans ce projet de promouvoir une gouvernance et un développement inclusif par une contribution accrue de la société civile sur les aspects genre, santé sexuelle et reproductives (SSR ) en Côte d’Ivoire.
En réunissant toutes les parties prenantes Alliance Côte d’Ivoire a relevé les engagements non respectés et a invité toutes les parties à faire des propositions concrètes pouvant permettre d’atteindre l’objectif de lutter contre les VBG dans les différents départements du Sud-comoé.
Ce sont, entre autres, l’initiative des participants de mettre un accent sur le volet judiciaire, juridique, et communautaire pour faciliter l’aboutissement des plaintes à l’endroit des acteurs des VBG, l' intégration systématique des activités génératrices de revenus (AGR) et la distribution des kits de dignité dans la réponse des questions de VBG pour gagner la confiance des communautés et réduire les risques d’exposition. La facilitation de la construction de centres d’accueil et de transit au profit des survivants des VBG a été également retenue.
Pour le vice-président d’Alliance-CI, Boua 2 Louis, il s’agissait à travers cette rencontre de renforcer la participation des parties prenantes et la coordination des interventions autour de la réalisation des engagements issus de la carte de score communautaire liées à la prise en charge optimale des VBG et la promotion de la SSR.
Alliance Côte d’Ivoire conduit depuis 2019 un projet dénommé Mi kan midiè « ma part de vérité » en langue Agni financé par l’Union Européenne (UE).
(AIP)
akn/kam
Alliance Côte d’Ivoire avait pour objectif dans ce projet de promouvoir une gouvernance et un développement inclusif par une contribution accrue de la société civile sur les aspects genre, santé sexuelle et reproductives (SSR ) en Côte d’Ivoire.
En réunissant toutes les parties prenantes Alliance Côte d’Ivoire a relevé les engagements non respectés et a invité toutes les parties à faire des propositions concrètes pouvant permettre d’atteindre l’objectif de lutter contre les VBG dans les différents départements du Sud-comoé.
Ce sont, entre autres, l’initiative des participants de mettre un accent sur le volet judiciaire, juridique, et communautaire pour faciliter l’aboutissement des plaintes à l’endroit des acteurs des VBG, l' intégration systématique des activités génératrices de revenus (AGR) et la distribution des kits de dignité dans la réponse des questions de VBG pour gagner la confiance des communautés et réduire les risques d’exposition. La facilitation de la construction de centres d’accueil et de transit au profit des survivants des VBG a été également retenue.
Pour le vice-président d’Alliance-CI, Boua 2 Louis, il s’agissait à travers cette rencontre de renforcer la participation des parties prenantes et la coordination des interventions autour de la réalisation des engagements issus de la carte de score communautaire liées à la prise en charge optimale des VBG et la promotion de la SSR.
Alliance Côte d’Ivoire conduit depuis 2019 un projet dénommé Mi kan midiè « ma part de vérité » en langue Agni financé par l’Union Européenne (UE).
(AIP)
akn/kam